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Pierre Germain·20 janvier 2019

đŸ“œ Quand Mourinho Ă©tait Ă  deux doigts de mourir de suffocation

Image de l'article :đŸ“œ Quand Mourinho Ă©tait Ă  deux doigts de mourir de suffocation

Actuellement consultant sur beIN, le Special One est revenu sur un Ă©pisode insolite de sa carriĂšre lors de l’aprĂšs-match de la rencontre opposant Arsenal Ă  Chelsea samedi soir.

Le Mou est revenu sur une histoire fameuse qui remonte Ă  2005, Ă©poque oĂč il officiait sur le banc des Blues. Interdit de vestiaire avant le quart de finale opposant Chelsea au Bayern, il n’était mĂȘme pas censĂ© ĂȘtre prĂ©sent dans le stade ce jour-lĂ .


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Pourtant dĂ©sireux de parler Ă  ses troupes avant la rencontre, il s’était cachĂ© dans un panier de linge sale pour quitter l’enceinte Ă  l’insu des arbitres officiels. Un stratagĂšme Ă©voquĂ© samedi.

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« Oui j’y Ă©tais (dans le panier de linge sale). Je ne me souviens pas des dĂ©tails, je me souviens juste des Ă©lĂ©ments majeurs. Ce qu’il faut comprendre, c’est qu’il y avait un gros match de Champions League Ă  jouer, Chelsea contre le Bayern. Il fallait absolument que je sois avec mes joueurs, donc je l’ai bien fait.

Je suis dans le vestiaire dans le courant de la journĂ©e, donc j’y Ă©tais. J’y suis depuis midi, et le match n’est qu’à 19h00. Je voulais simplement ĂȘtre dans le vestiaire pour l’arrivĂ©e des joueurs. Donc je m’y faufile et personne ne me voit.

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Le problĂšme a Ă©tĂ© de faire le chemin inverse. Stuart, le responsable des Ă©quipements me met dans le panier, un grand panier en mĂ©tal, et il le laisse lĂ©gĂšrement entrouvert pour que je puisse respirer. Mais lorsque Stuart sort du vestiaire, il est suivi par les officiels de l’UEFA. Ils cherchaient absolument Ă  me coincer, donc Stuart a fermĂ© le couvercle. Je ne pouvais plus respirer.

Lorsqu’il a enfin ouvert la boĂźte, j’étais sur le point de mourir. Je suis sĂ©rieux, je suis claustrophobe, je vous assure. »

Une anecdote croustillante, qui tĂ©moigne de toute la ferveur et la folie du Special One quand il s’agit de football.