PSG/Inter Miami – Mascherano donne une mission et une leçon | OneFootball

Le Paris Saint-Germain et l’Inter Miami s’affrontaient ce dimanche au Mercedes-Benz Stadium d’Atlanta dans le cadre des 8es de finale de la Coupe du Monde des Clubs 2025. Une rencontre qui s’est terminée avec une victoire parisienne 4-0 (résumé vidéo PSG/Inter Miami). Après cette rencontre, le coach de l’équipe états-unienne Javier Mascherano s’est exprimé en conférence de presse. L’occasion d’évoquer la possibilité pour le PSG de marquer l’histoire, avec une constance à avoir dans le temps, ainsi que de s’agacer face à une question.

Mascherano « ça peut être une équipe dont on se souvient. »

Paris peut marquer l’histoire ?

Clairement Paris est une grande équipe. Une grande équipe. Il faudra voir avec le temps s’ils peuvent tenir sur la durée. Mais aujourd’hui, compte tenu de la jeunesse et la qualité des joueurs, et surtout avec le très grand entraîneur qu’ils ont et avec qui j’ai une relation qu’il n’y a pas de besoin de décrire (sourire), il est sûr que ça peut être une équipe dont on se souvient.

Cela dépend d’eux. J’ai eu la chance de jouer assez longtemps dans une équipe comme Barcelone. Pendant beaucoup de temps, elle a marqué une tendance. Je ne le dis pas parce que j’ai joué dans l’équipe. J’ai seulement accompagné, avec les joueurs et les coachs que nous avons eus. Quant au PSG, on verra avec le temps.

Mascherano « il y a deux types de football, celui de la vie réelle et celui d’internet »

Il aurait fallu faire un match plus défensif ?

Plus défensif ? Qu’avons-nous fait ? Que suggérez-vous ? Je crois que Renato Paiva (coach de Botafogo) a donné un grand enseignement dans une déclaration que j’ai vu : « il y a deux types de football, celui de la vie réelle et celui d’internet ». Je suis complètement d’accord.

Et celui de la vie réelle est celui ici sur le terrain. Ce sont des moments à vivre. Je comprends qu’avec le journal tout le monde sait comment jouer au football. Nous essayons de le faire de la meilleure manière possible.

Clairement, nous avons voulu faire un match défensif. Mais nous ne pouvons pas penser non plus à mettre tout le monde dans la surface. Cela ne donne pas la garantie de gagner. Nous n’avons jamais pressé haut, nous n’avons pas fait de folie. Mais cet adversaire vient de gagner la finale de Ligue des Champions 5-0, en menant rapidement 3-0 (sourire).