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·28 janvier 2024
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Son modèle professionnel, son transfert au PSG, les échéances internationales... À l’occasion d’un entretien diffusé par Téléfoot ce dimanche, Bradley Barcola est revenu sur son début de saison dans la capitale.
Pour performer durablement à haut niveau, il n’y a rien de plus important, ou presque, qu’une hygiène de vie irréprochable. Du haut de ses 21 ans, le jeune Bradley Barcola l’a bien compris : « Cristiano Ronaldo, c’est vraiment mon modèle, que ce soit dans le travail ou dans le jeu », a-t-il confié à Téléfoot dans le cadre d’un entretien diffusé ce dimanche. Des ambitions affichées et assumées que l’ancien Lyonnais espère pouvoir assouvir au PSG, club qu’il a rejoint l’été dernier durant la dernière journée du mercato contre un chèque de 50 millions d’euros, bonus compris. En ligne de mire, l’international espoir français espère pouvoir prendre part aux Jeux olympiques de Paris 2024, s’il est sélectionné, mais il reconnaît que « si c’est l’Euro, ce sera l’Euro », objectif qu'il aurait bien en tête selon RMC Sport.
S’il a rejoint le PSG après une première saison convaincante chez les professionnels avec l’OL, c’est bien son entraîneur, Luis Enrique, qui joue un rôle prépondérant dans sa bonne forme du moment. « Si je suis meilleur avec Luis Enrique ? Je sais que j’ai progressé. Quand je ne fais pas ce qu’il veut, il est derrière moi à me dire : « Vas, écarte-toi, prends la balle et vas en un-contre-un », clarifie le jeune footballeur. Avant de poursuivre : « C’est vrai que je suis un joueur qui dribble, mais je ne suis pas le joueur qui va aller pendant tout le match dribbler en un-contre-un. C’est lui qui me pousse, et je sais que c’est comme ça que je progresse ».
Désireux de s’installer durablement dans l’effectif parisien, le principal intéressé reconnaît qu’il a de « la chance d’être de plus en plus titulaire ». Bonne nouvelle pour lui, le match aller des huitièmes de finale de Ligue des Champions face à la Real Sociedad approche à grand pas. S’il continue sur sa lancée (deux buts, trois passes décisives), le Lyonnais de naissance pourrait prendre part à la fête et couper l’herbe sous le pieds à un certain Randal Kolo Muani, décevant depuis son arrivée dans la capitale...
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