OnzeMondial
·16 juin 2025
PSG - Atlético : « Mucho PSG », la presse espagnole choquée par le niveau de Paris !

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·16 juin 2025
La claque infligée par le PSG à l'Atlético Madrid hier soir pour son premier match de la Coupe du monde des clubs laisse tout simplement la presse espagnole sans voix, choquée par l'écart entre les deux équipes.
Le PSG a frappé un immense coup dès son entrée en lice dans la Coupe du monde des clubs. Deux semaines après son triomphe historique en Ligue des champions face à l’Inter (5-0), le champion d’Europe a écrasé l’Atlético de Madrid (4-0) au Rose Bowl de Pasadena. Une démonstration de force qui a laissé la presse espagnole sans voix… ou presque.
« Mucho PSG » titrent en chœur Marca et Mundo Deportivo, totalement bluffés par la prestation des Parisiens. Marca insiste sur le fait que « le champion d’Europe impose sa loi », tandis que Mundo Deportivo parle d’un PSG « qui sort les muscles » pour ses débuts dans ce Mondial. Le message est clair : Paris joue dans une autre cour.
Même Sport, souvent plus favorable aux adversaires du Real ou de l’Atlético, parle d’un « début amer pour l’Atlético face au PSG de Luis Enrique », soulignant à quel point les Colchoneros ont été dépassés dans tous les compartiments du jeu. AS, de son côté, résume la soirée d’un mot : « Tropezón Mundial ». Une chute mondiale. Celle d’un Atlético méconnaissable, humilié et impuissant face à la puissance collective et technique du PSG.
Car le match n’a laissé place à aucun doute. Fabian Ruiz a ouvert le score d'une frappe limpide après une belle séquence collective (19’), avant que Vitinha ne double la mise juste avant la pause (45+1’). En seconde période, Paris a géré avec une sérénité impressionnante, Kvaratskhelia touchant même la barre. Et alors que Lenglet laissait ses coéquipiers à dix à la 79e minute, Mayulu (87’) puis Kang-In Lee (90+3’, sur penalty) ont parachevé le festival.
Ce PSG-là fait peur. Solide, structuré, efficace, et surtout insatiable. Pour les médias espagnols, il n’y avait pas photo entre le champion d’Europe et un Atlético dépassé, où Griezmann fut transparent et la défense aux abois. Le collectif huilé de Luis Enrique impressionne par sa maturité et sa maîtrise. Paris semble avoir transformé son sacre en C1 en carburant pour régner aussi sur la planète.
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