Podcast ML2 – La course à la montée, la lutte pour le maintien, Auxerre, ASSE, Bordeaux, Caen… Robert Malm nous livre ses avis et analyses avant le sprint final | OneFootball

La trêve internationale s’achève et le championnat de Ligue 2 s’apprête à faire son retour pour un sprint final qui s’annonce palpitant. Plus serré que jamais, le classement offre des duels à tous les étages, et bien malin qui saura prédire l’issue de cet exercice 2023/2024. Avec Robert Malm, qui totalise 382 matchs en seconde division et qui commente désormais la L2 sur la chaîne beIN Sports, nous sommes revenus sur les différents enjeux de la fin de saison. De la course à la montée, en passant par quelques cas bien particuliers, à la lutte pour le maintien, nous faisons un point sur les états de forme de chaque écurie en compagnie d’une figure emblématique du championnat.

À lire aussi >> Podcast ML2 – Son actualité, sa perception du management, son expérience de la L2… Notre entretien XXL avec Régis Brouard

Au sujet de l’AJA

« Mis à part Auxerre, ça reste très ouvert derrière. Quand tu as cinq points d’avance sur le second, sept sur le troisième… Il va falloir regarder le nombre de points d’avance qu’ils prennent sur le troisième pour assurer définitivement l’une de ces deux premières places […] Hors catastrophe, s’ils ne font pas de fausses notes, ils vont y aller (ndlr : en Ligue 1). »

Au sujet de l’ASSE

« Ils savent ce qu’ils ont traversé, ils ont été très bien à un moment donné avec Laurent Batlles. Il y a eu ces cinq défaites d’affilée qui lui ont coûté sa place par la suite. Il y a eu quelques réajustements au sein de l’effectif qui auraient quand même eu lieu sous l’ère Batlles je pense. Puis Olivier Dall’Oglio a trouvé quelque chose, le petit truc en plus […] Ils vont se mêler sans problème à la course au top 5, ça j’en suis persuadé. Et je peux dire que l’homme qui est à la tête de cette équipe ne va rien laisser passer. Il a l’expérience des montées, il sait comment une fin de saison peut se passer. Quand tu es un club comme l’ASSE, plus on va avancer, si les résultats sont bons, plus la pression populaire va être forte. Et c’est là où on verra Saint-Étienne. Le top 5, c’est le minimum. »