Pierre Sage présente son premier adjoint Jamal Alioui | OneFootball

Le staff complet du RC Lens n’est pas encore connu. Mais on sait d’ores et déjà que Cédric Berthelin, entraîneur des gardiens, sera toujours présent, alors qu’Eric Sikora va de son côté venir aider sur l’intégration des jeunes. Et en attendant un second adjoint qui sera plus identifié “club”, il y aura aussi Jamal Alioui, le seul arrivé pour l’instant de l’extérieur, sur demande de Pierre Sage. Ancien adjoint chez les jeunes du Maroc ou encore à Nancy avant Lyon, il le suit en Artois.

Le nouveau coach lensois présente son adjoint principal, âgé de 43 ans et ancien défenseur de l’équipe du Maroc, de Pérouse, Metz ou encore Nantes : « C’est quelqu’un que je connais depuis très longtemps puisque lorsqu’il se formait, j’étais formateur d’une autre formation. Il est venu en immersion suivre une semaine avec nous. Les échanges ont commencé là. C’était il y a à peu près une dizaine d’années. Depuis, on ne s’est plus quitté, même si on n’avait jamais été ensemble non plus. Dès que j’ai eu la possibilité de l’intégrer au staff à l’Olympique Lyonnais, je l’ai fait. Il m’a rejoint en janvier 2024. Avec le temps et la pratique, parce que c’est très bien de se connaître, mais travailler avec quelqu’un, c’est encore autre chose, il a confirmé tout le bien que je pensais de lui. Je pense que les joueurs qui ont été à son contact pourront le confirmer aussi. C’est quelqu’un qui met beaucoup d’intensité dans les séances, ce qui correspond à la fois au process d’entraînement, mais aussi à mon profil. Du coup, même si on est caractérisés comme complémentaires, je pense qu’on se ressemble sur nos idées et dans la volonté de faire en sorte que le système d’entraînement soit un accélérateur de performance.»

« Le bon sens l’a emporté »

A Lyon, Pierre Sage était entouré de 5 personnes et n’a pu être accompagné que de Jamal Alioui, alors que le nom de Rémy Vercoutre avait été évoqué. A la fin, son staff rapproché à Lens devrait être un peu plus réduit, avec la volonté du club d’amener de la stabilité après avoir rencontré beaucoup de mouvements. Pas un problème : «  Il y a cette souplesse-là, et quand on voit les arguments qui sont avancés par le club pour défendre l’idée qu’un staff-club se vaut au vu des mouvements qu’il y a eu ici par le passé, le bon sens l’a emporté. »