Pedro Diaz : “Là où je dois le plus travailler, c’est au niveau physique. Si j’améliore cet aspect, je vais faire un vrai saut qualitatif” | OneFootball

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·19 avril 2024

Pedro Diaz : “Là où je dois le plus travailler, c’est au niveau physique. Si j’améliore cet aspect, je vais faire un vrai saut qualitatif”

Image de l'article :Pedro Diaz : “Là où je dois le plus travailler, c’est au niveau physique. Si j’améliore cet aspect, je vais faire un vrai saut qualitatif”

Lors d’une longue interview pour le site de la Ligue 2, Pedro Diaz s’est exprimé sur son adaptation aux Girondins, mais aussi dans ce championnat de L2. “J’ai été très bien accueilli à Bordeaux, ce qui a fait que l’adaptation a été rapide. Ce n’est pas une histoire de matchs, c’est parce que l’accueil a été très bon et, quand c’est comme ça, n’importe qui s’adapte vite ! Si ça me faisait peur de partir d’Espagne ? Au début si, un peu, mais j’avais très envie d’une nouvelle aventure et ce désir prenait le dessus sur la peur […] Tout à l’heure, on parlait de l’adaptation et c’est sûr que la Ligue 2 BKT est un peu différente de ce que je connaissais. C’est plus physique, avec beaucoup de courses, d’allers-retours, des contacts avec les adversaires qui sont plus durs… Mais il faut s’adapter et utiliser ses qualités au mieux pour apporter à l’équipe. C’est ce que j’essaie de faire au mieux, avec ce que me demande l’entraîneur et ce qui peut aider mes coéquipiers […] Là où je dois le plus travailler, c’est au niveau physique parce qu’ici, il y a beaucoup de changements de rythme. Il faut que je sois capable de souvent changer de rythme. Et je crois que si j’améliore cet aspect, je vais faire un vrai saut qualitatif”.

Est-ce que ça facilite les choses d’avoir un entraîneur espagnol ? “Quand il faut parler football, on se comprend plus facilement. Quand on communique, je comprends 100% de ce qu’il me dit et je peux lui dire ce que je pense. Tout est plus facile. Comme je ne suis pas en Espagne et que les personnes qui m’entourent ici parlent français ou anglais, l’entraîneur est le seul avec qui je peux communiquer en espagnol donc, directement, ça a été spécial, et je crois qu’on peut dire qu’on a une relation spéciale […] Et pendant les entraînements, quand ils participent à certains exercices avec nous, tu vois qu’ils ont encore beaucoup de qualités même s’ils ont un âge différent. Quand le coach Riera participe avec nous, ses qualités sont toujours là et il pourrait presque jouer avec nous !”.

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