OM : "pas revanchard", Marcelino s’apprête à retrouver le… Panathinaïkos ! | OneFootball

Avant Villareal – Panathinaïkos, Marcelino est revenu face à la presse sur le club grec qui lui a laissé un mauvais souvenir l’été passé avec l’OM.

Au mois d’août, l’OM s’était fait sortir des qualifications de la Ligue des Champions par le Panathinaïkos, au terme d’un match retour où les décisions arbitrales avaient été largement pointées du doigt... Depuis Marseille est dans le dur et Marcelino a quitté la cité phocéenne lui qui n’avait plus la cote après de très mauvais matchs avec l’OM.

Désormais à Villarreal, Marcelino continue de se lâcher ces dernières semaines sur l’OM et son environnement. Le technicien qui avait démissionné agace énormément les supporteurs et anciens joueurs marseillais, à l’image d’Eric Di Meco, qu’il a traité de « peureux » et « disqualifié pour parler de l'OM ».

Marcelino même pas revanchard contre le Pana

Ce jeudi, Villarreal va recevoir le Panathinaïkos pour le compte de la 5e journée de la phase de groupes de la Ligue Europa. L’écurie ne doit pas perdre pour espérer conserver sa 2e place, Marcelino a logiquement été interrogé sur le club grec qu’il a affronté cet été en conférence de presse. « Lorsque nous les avons joués avec Marseille, les deux matchs étaient déjà très différents de demain », a-t-il d’abord lancé ce mercredi comme le rapporte AS.

« La revanche et la vengeance n'existent pas dans ma façon de penser. J'aborde tous les matchs avec l'objectif de gagner, tout en respectant au maximum l'adversaire. C'est important de gagner car cela nous qualifie. Nous savons que c'est difficile, mais nous voulons gagner. C'est une chose de connaître le plan et une autre de l'exécuter. Voyons si nous pouvons prendre les trois points et nous qualifier », a-t-il ajouté.

« Connaître l'adversaire, cela peut nous aider, c'est certain. Marseille n'a rien à voir avec celle de Villarreal. Nous avons une autre façon de jouer. Quand il s'agit de contrer leur jeu, nous les connaissons, nous savons comment ils jouent et où ils peuvent nous poser des problèmes, et nous savons comment les contrer. Cela nous aide à les connaître même si les joueurs sont différents », a commenté Marcelino.

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