OnzeMondial
·22 novembre 2024
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Pablo Longoria, le président de l'OM, a révélé dans la presse italienne une anecdote savoureuse sur les exigences de Roberto De Zerbi en terme technologique.
C'est évidemment l'un des gros coups de l'été en France et même en Europe. Roberto De Zerbi, le technicien italien à la cote énorme quand il évoluait sur le banc de Brighton, s'est engagé avec l'OM au début de l'été. Un dossier qui semblait inaccessible mais que le club olympien a finalement réussi à conclure pour lancer un projet qu'il espère gagnant dans les trois années qui viennent.
Dans les colonnes du Corriere della Sera, relayé par Eurosport, Pablo Longoria revient sur les coulisses de cette signature. « C'était durant les jours où je cherchais un technicien, s'est-il remémoré. Un ami m'appelle et me souffle : 'la semaine prochaine, De Zerbi quitte Brighton. Ne dis rien.' Je raccroche et j'appelle Edo Crnjar, son agent, et je lui dis : 'je sais que c'est impossible mais j'essaie'. Je l'ai convaincu avec transparence, avec passion et avec le projet. Roberto a suivi son cœur, je crois que l'enthousiasme de la ville et des supporters de l'OM, qui compte 49.000 abonnés, a joué », estime le président marseillais.
Un Pablo Longoria qui raconte au passage une anecdote savoureuse, où une incompréhension entre le président et son entraîneur a donné lieu à une surprise XXL au centre d'entraînement. « Un jour, il me demande le budget pour acheter un tableau électronique pour expliquer les schémas tactiques. J'ai répondu qu'il n'y avait aucun problème, convaincu qu'il aurait pris un IPad. Je me suis retrouvé avec un écran géant sur le terrain d'entrainement, comme ceux adaptés aux stades », s'amuse le président marseillais encore aujourd'hui.
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