OM - Adrien Rabiot poussé vers la sortie : Roberto De Zerbi met tout sur le dos de Véronique Rabiot ! | OneFootball

Roberto De Zerbi, l'entraîneur de l'OM, a lâché ses vérités sur l'affaire Adrien Rabiot.

Suite à sa violente altercation avec Jonathan Rowe (22 ans), survenue dans le vestiaire phocéen à l'issue de la défaite concédée sur la pelouse du Stade Rennais FC (1-0), vendredi soir dernier, à l'occasion de la 1ère journée de Ligue 1, Adrien Rabiot (30 ans) a été écarté du groupe professionnel de l'Olympique de Marseille jusqu'à nouvel ordre. Dans la journée de mardi, le milieu de terrain français a même été placé sur la liste des transferts lors de ce mercato estival par les dirigeants olympiens.

De passage en conférence de presse, ce vendredi après-midi, Roberto De Zerbi (46 ans), l'entraîneur des Ciel-et-Blanc, est évidemment et longuement revenu sur ce dossier. Face aux journalistes, le technicien transalpin a livré ses vérités et a notamment chargé Véronique Rabiot, la mère et agente d'Adrien, qui a visiblement fait basculer cette affaire dans une autre dimension.

Roberto De Zerbi : "Ensuite, ça a dégénéré, pas à cause de l'OM mais de l'entourage"

"Ce sont les faits : lundi, quand on a communiqué la décision aux joueurs, c'était temporaire. Ensuite, ça a dégénéré, pas à cause de l'OM mais de l'entourage. J'ai mis mon orgueil de côté. Mais je pense que je ne suis personne pour être plus important que Rabiot. Il existe une hiérarchie. Que la mère de Rabiot se permette de dire qu'on a donné une deuxième chance à Greenwood... C'est fou. On parle de vie privé là. Ce n'est pas juste de parler d'autres pesonnes", a tout d'abord lancé le tacticien italien.

"On parle d'une bagarre là, dans un lieu de travail. Donc quand la mère de Rabiot dit que j'aboie, c'est vrai comme on le voit dans la série sur l'OM. Mais, des fois, je sus capable aussi d'embrasser, de montrer à Rabiot qu'on est derrière lui. Il y a 10 jours, je lui ai dit, quand il cherchait une maison, que je lui donnais ma maison d'Aix-en-Provence et moi je vais à l'hôtel. Je l'ai fait pour Adrien. Mais je ne dois pas me prostituer pour un joueur qui nous fait gagner des matchs. Tout le monde doit respecter, de Vaz à Rabiot et Höjbjerg", a ajouté Roberto De Zerbi.