OL : "Jouer pour sa ville, il n’y a pas meilleur sentiment", assure Caqueret | OneFootball

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·19 août 2022

OL : "Jouer pour sa ville, il n’y a pas meilleur sentiment", assure Caqueret

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De retour contre Troyes, Maxence Caqueret va pouvoir lancer sa saison. Sa 5e à 22 ans, lui qui a été formé à l’OL et qui représente le fameux ADN lyonnais.

Vendredi soir, au moment de rentrer sur la pelouse du Parc OL, ils seront cinq à avoir connu les bancs de l’Académie avant de faire les preuves chez les grands. De Rémy Riou à Alexandre Lacazette en passant par Malo Gusto, chaque ligne de l’OL aura un peu de sang lyonnais contre Troyes. Ce n’est pas une nouveauté mais depuis l’été et une saison dernière chaotique, l’ADN OL a été remis au centre du projet. Ce projet, Maxence Caqueret en fait partie et pour quelques années encore après avoir prolongé jusqu’en 2027. De retour de blessure pour cette 3e journée de Ligue 1, le milieu de terrain devrait normalement s’asseoir sur le banc avant de pourquoi pas entrer en cours de jeu et renforcer encore un peu plus le contingent lyonnais.

"Jouer pour le club de sa ville, de sa région, il n'y a pas de meilleur sentiment. On en ressent tous la fierté. Mon rêve a toujours été de signer pro à Lyon. Si je n'avais pas pu, j'aurais signé ailleurs, bien sûr, mais c'est ce que je voulais. J'allais à Gerland avec mes parents voir les matches, ils étaient fans de l'OL avant moi."


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"Mon père a refusé une première fois l'OL"


La sortie médiatique de Caqueret n’est pas anodine et rejoint ce que pouvait dire Peter Bosz, mercredi en conférence de presse. Les joueurs nés et formés à Lyon sont fiers et peut-être encore plus marqués au fer rouge lors des périodes difficiles comme ce fut le cas la saison dernière. Enfant de l’OL, Maxence Caqueret a gravi tous les échelons dans les catégories de jeunes, souvent le brassard autour du bras. Il a connu "les regards des adversaires lors des tournois parce qu’on était l’équipe à battre" et la culture technique. Pourtant, son histoire avec l’OL a connu un contretemps quand il évoluait encore à Chaponnay-Marennes.

"Après Corbas, je suis allé à Chaponnay-Marennes, et l'OL était venu me repérer là-bas. Mais mon père ne préférait pas que je parte, il pensait que c'était trop tôt, qu'il valait mieux que je continue à jouer avec mes amis. (…) L’OL est revenu deux ans après et là mon père a dit oui."

Arrivé à 11 ans au centre de formation, Maxence Caqueret a passé la moitié de sa jeunesse à l’OL. Ça marque forcément un joueur.

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