Nicolas Maurice-Belay : “Ils font tous les mythos avec leurs podcasts où ils font les geeks du football, alors qu’ils ne connaissent que dalle… Tu ne remplis ni la case but, ni la case passe dé’, ils ne veulent rien savoir” | OneFootball

Nicolas Maurice-Belay : “Ils font tous les mythos avec leurs podcasts où ils font les geeks du football, alors qu’ils ne connaissent que dalle… Tu ne remplis ni la case but, ni la case passe dé’, ils ne veulent rien savoir” | OneFootball

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·13 mai 2024

Nicolas Maurice-Belay : “Ils font tous les mythos avec leurs podcasts où ils font les geeks du football, alors qu’ils ne connaissent que dalle… Tu ne remplis ni la case but, ni la case passe dé’, ils ne veulent rien savoir”

Image de l'article :Nicolas Maurice-Belay : “Ils font tous les mythos avec leurs podcasts où ils font les geeks du football, alors qu’ils ne connaissent que dalle… Tu ne remplis ni la case but, ni la case passe dé’, ils ne veulent rien savoir”

Dans l’émission « Ballon, Main, Corps », l’ancien ailier des Girondins de Bordeaux, Nicolas Maurice-Belay, sur le sujet des statistiques lors de sa carrière, a expliqué qu’on pouvait leur faire dire ce qu’on voulait. Car s’il avait fait une belle action et une belle passe, mais que son attaquant avait manquait l’occasion, cette stat’ n’était pas comptabilisée.

« Des fois, j’avais des discussions avec mes adjoints, qui me rentraient dedans… A un moment, je m’étais embrouillé, et je leur avais dit ‘à un moment donné, je ne viens pas tous les dimanches matins pour te montrer toutes les occasions que les autres graillent’. Un offensif est jugé soit sur le but, soit sur la passe décisive. Le reste, le monde du foot d’en haut, il ne veut rien savoir. C’est pour ça qu’ils font tous les mythos avec leurs podcasts, où ils font les geeks du football, alors qu’ils ne connaissent que dalle… Juste parce que tu ne remplis ni la case but, ni la case passe déc’, ils ne veulent rien savoir de toi. C’est pour ça qu’en Espagne et la France sont très différentes, il y a des choses qui sont appréciées dans un pays et pas d’autres l’autre, et inversement. A un moment donné, on ne juge un joueur que là-dessus, sur l’aspect décisif. Je vais vous donner un autre exemple, avant que je me blesse, pendant un mois et demi, je joue numéro 6, en 2016. Mon équipe gagne tous les matches. Il y en a qui vont te dire ‘non, il a fait un match nul contre Angers’, mais je suis sorti à 1-0… Moi aussi je vais faire mes stats comme ça (rires). Moi, je joue avec leurs règles. Toute ma vie on m’a parlé de stats’, eh bien les stats qui vont m’avantager, je vais les donner, point barre ! ».

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