Nice : "J’ai craint un problème neurologique", Franck Haise explique son passage aux urgences après la victoire contre Strasbourg | OneFootball

Franck Haise, entraîneur de l’OGC Nice, a expliqué son passage aux urgences après la victoire contre Strasbourg (2-1) lors de la 12e journée de la Ligue 1.

Des nouvelles rassurantes. Dimanche 24 novembre, l’OGC Nice a reçu le Racing Club de Strasbourg à l’occasion du dernier match de la douzième journée du championnat de France. À l’issue d’une rencontre renversante, le club azuréen s’est imposé sur la plus petite des marges (2-1) contre une équipe alsacienne à deux visages. Pendant la rencontre, Franck Haise a été victime d'une grosse migraine avec un pic de tension a expliqué l’Équipe. Dès le coup de sifflet finale, l’entraîneur des Aiglons s’est rendu aux urgences afin de passer des examens. Fort heureusement, son état de santé n'inspire pas d'inquiétude et il a pu rentrer à son domicile.

"J’ai craint un problème neurologique"

À la veille de la réception des Glasgow Rangers (jeudi à 21h) pour le compte de la cinquième journée de la phase régulière de la Ligue Europa, Franck Haise (entraîneur de l’OGC Nice) s’est présenté face à la presse où il a expliqué que les examens ont révélé une hypertension artérielle : "Je vais mieux. J'ai fait des examens dimanche soir et hier (mardi) encore. Ça a permis de voir que j'avais une bonne hypertension artérielle. Dimanche soir, comme on a pu craindre à un moment un problème neurologique, j'ai été emmené aux urgences. Le traitement est en cours depuis aujourd'hui et ça va mieux. Je vais vivre le match comme d'habitude. Bien sûr que si on avait mis le troisième but plus tôt contre Strasbourg, peut-être que je n'aurais pas eu cette douleur intense dans la tête ! Mais si je suis devant vous et avec mon groupe, c'est que je suis à 100 % moi aussi. Sinon, on aurait fait d'autres choix. Je vais le vivre avec eux, intensément quand il faudra être intense et calme quand il faudra être calme. Ça ne m'était jamais arrivé en 21 ans. Parfois, il faut creuser un peu et c'était très bien, ça m'a permis de me rendre compte qu'il y avait un problème à gérer. C'est le bon côté des choses. Tous les entraîneurs haïssent la défaite, après, on le vit chacun à notre manière, on intériorise, on extériorise... Mais c'est sûr que c'est un métier de passion, et comme tous les métiers de passion, on a parfois du mal à évacuer. Parfois, ça peut faire mal au crâne." Pour ne pas voir son objectif de qualification s'éloigner, le club azuréen doit impérativement s’imposer contre l’actuel troisième du championnat d’Espagne.

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