Neal Maupay : La conférence de presse | OneFootball

Suivez à partir de 14 heures en direct depuis le centre RLD la conférence de presse de présentation de notre attaquant, Neal Maupay, en présence de Fabrizio Ravanelli.

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le replay de la conférence de presse sur Twitch

Fabrizio Ravanelli : «On a une grande confiance en Neal»

Neal Maupay, 28 ans, attaquant, qui vient d’Everton. Il a joué à Brest, Saint-Etienne et Nice. Il montré son caractère, sa personnalité sur et en dehors du terrain. On a une grande confiance en Neal Maupay. Au nom de l’OM, je te souhaite la bienvenue.

Neal Maupay : «Le coach nous tire vers le haut»

Cela a été spécial. Je suis arrivé à la fin du mercato et je suis parti à Toulouse. On a gagné. La semaine passée, il n’y avait pas de match, c’était spécial aussi. J’ai hâte d’enchaîner les entraînements et les matchs.

Cela faisait du bien de retrouver le terrain. J’étais un peu en manque de rythme. Elye Wahi est un jeune attaquant. Il a signé en tant que numéro un. Il peut apporter beaucoup à l’équipe. Je suis là pour l’aider, le faire progresser. Pour faire une bonne saison, il faut doubler les postes. Je m’entends très bien avec lui et cela va nous rendre meilleurs.

Nice est mon club formateur. C’est spécial pour moi. Je me donne à 100% donc quand je porte un maillot, je donne tout pour ce maillot. Cela ne changera pas samedi. Sur le terrain, seule la victoire m’importe. Et encore plus contre d’anciennes connaissances. Quand j’entre sur le terrain, même face à ma femme et mes enfants, je ne leur ferai pas de cadeau.

Cela se passera bien si on gagne et que je marque des buts. Je donne tout sur le terrain, je suis à fond dans le projet. Il y a de la ferveur et des attentes, le public le sang chaud, ça peut bien marcher. On a le coach et les joueurs pour que tout fonctionne.

Je me considère comme un buteur. Il y a eu beaucoup de concurrence, j’ai surtout joué le maintien au haut niveau. J’ai le sens du but, j’aime décrocher, jouer avec le ballon dans les pieds. Je vais apporter à l’équipe.

Je ne me sens pas vieux. J’ai commencé jeune, je viens de fêter mes 28 ans, j’ai plus de maturité. Je n’ai pas connu de blessures majeures depuis mes 16 ans. Désormais, c’est le terrain qui va parler.

J’aime utiliser les réseaux sociaux, les supporters aussi. La situation était claire pour moi à Everton, je voulais partir et le club ne me souhaitait dans le projet.

De Zerbi est très intense. C’est un passionné. Il tire tout le monde vers le haut. Dès l’échauffement, il est derrière nous. C’est important pour progresser. Il y a toujours un but à la séance. Il recherche la perfection et cela peut nous faire progresser très vite.

100%. Dès que j’ai parlé avec De Zerbi, que je connaissais déjà, pour moi c’était une évidence. J’ai des retours d’anciens coéquipiers de Brighton. Ils m’ont dit de foncer, que le coach allait me faire progresser.

Pendant la séance, il est partout, il ne tient pas en place. Il a sa vision et il faut que ce soit comme il veut. Quand il nous reprend, c’est pour nous faire progresser. En dehors, il est chaleureux, il fait des câlins. Sur le terrain, il nous pousse car on ne peut pas s’entraîner à 80%. En dehors, on discute de plein de choses.

La priorité n’était pas forcément de rentrer en France. Mais quand l’OM vous appelle avec un tel coach… Je n’avais pas de destination pré-définie mais après l’appel de l’OM, c’était une évidence.

On a beaucoup de membres du staff. Je ne connais pas encore tout le monde très bien. Ils ont tous un rôle bien particulier.

Jouer sur les côtés, ce n’est pas mon style de jeu. En deuxième attaquant, en 9 ou en 10, à la manière d’Amine Harit, oui. Peu importe le poste, je suis prêt.