Monaco : la mère de Breel Embolo monte au créneau et cartonne les supporters après Suisse - Cameroun | OneFootball

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·26 novembre 2022

Monaco : la mère de Breel Embolo monte au créneau et cartonne les supporters après Suisse - Cameroun

Image de l'article :Monaco : la mère de Breel Embolo monte au créneau et cartonne les supporters après Suisse - Cameroun

L'attaquant de l'AS Monaco Breel Embolo a été ciblé par des injures de la part des supporters camerounais sur les réseaux sociaux après son but avec la Suisse contre le Cameroun en Coupe du monde (1-0).

Une entrée en Coupe du monde contrastée pour Breel Embolo. Malmenée par le Cameroun, la Suisse a pu compter sur l'attaquant de Monaco pour la délivrer (victorieuse 1-0) et la placer dans une situation favorable en vue du prochain match dans le groupe G. Si le principal protagoniste de la victoire des Suisses a décidé de ne pas célébrer son but, celui-ci a fait couler beaucoup d'encre sur les réseaux sociaux. À l'issue du succès de la Nati face aux Lions indomptables (1-0), l'avant-centre suisse, originaire du Cameroun, a reçu de nombreuses injures de la part de supporters camerounais. Une situation qui a provoqué la colère de sa mère et qui n'a pas hésité à exprimer son mécontentement comme le rapporte SeneNews.


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"Laissez mon fils tranquille. Les Suisses l'ont formé, et il a fait le job. Et vous, au lieu de former vos joueurs, il n'y a que de la magouille chez vous. Pour entrer dans l'équipe nationale, vous devez donner telle somme, et il faut être dans Utopia (société de management qui gère l'image de Samuel Eto'o), pendant que les Suisses forment mes enfants", a lâché la mère du buteur monégasque. Le sélectionneur du Cameroun, Rigobert Song, avait également volé au secours du joueur de 25 ans en conférence de presse : "Je suis fier, d'une certaine manière, que ce soit Breel qui ait marqué pour la Suisse, même si forcément, j'aurais préféré qu'il porte nos couleurs. Je le connais bien, nous nous téléphonons parfois. Je suis un peu son grand frère, et ce n'est sûrement pas parce que nous ne portions pas le même maillot aujourd'hui que notre famille doit se déchirer."

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