Mercato : l'OL chercherait à faire annuler le transfert de Turner | OneFootball

L'OL payera-t-il un engagement de John Textor. En tout cas, il souhaiterait faire annuler l'accord pour le transfert de Matt Turner, gardien de Nottingham Forest.

Même s'il n'a plus officiellement de rôle au sein du Eagle Football Group, John Textor continue d'alimenter les pages des médias lyonnais. Au sujet de la DNCG d'abord, mais aussi dans la rubrique "mercato". On le sait très proche d'Evangelos Marinakis, le propriétaire de Nottingham Forest. Au point de boucler un transfert alors que l'OL n'avait pas encore passé la DNCG ?

C'est ce que rapporte L'Équipe. Selon nos confrères, le club rhodanien cherche actuellement à faire annuler la venue de Matt Turner, portier de la formation anglaise. Car avant les péripéties financières estivales que nous connaissons, il semblerait que John Textor se soit engagé à acquérir son compatriote et international américain contre 8 millions d'euros. Un somme très élevé pour un portier de ce profil. Sachant qu'ils sont encore six professionnels à ce jour dans l'effectif suite au prêt de Justin Bengui (RWDM Brussels).

L'opération compromettrait le reste du mercato

Or, dans la situation de l'Olympique lyonnais, cette opération ne peut évidemment pas avoir lieu. Elle viendrait compromettre le reste du recrutement. Il aurait donc missionné un avocat spécialisé, qui aurait entamé lundi les négociations avec les pensionnaires du City Ground.

Parmi les arguments mis en avant : le changement de présidence et un budget après passage devant la DNCG n'offrant pas le loisir de réaliser ce genre de mouvement. Il faudra néanmoins se montrer convaincant et parvenir à trouver une solution amiable assez rapidement pour ne pas impacter le reste du mercato.

Le cas Danilo aussi aurait pu poser un problème

A noter que si tout était bouclé pour Turner, cela l'était également pour Danilo. Mais le milieu de terrain s'est finalement dirigé vers Botafogo, sans quoi les discussions auraient sans doute été encore plus délicates. A l'OL, il y a visiblement encore quelques cadavres à enlever du placard, comme le veut l'expression.