L’Uruguay prépare ses amicaux | OneFootball

La Celeste affronte l’Iran et le Canada lors de la fenêtre internationale. Les matchs auront lieu en Autriche à Sankt Pölten pas très loin de Vienne et à Bratislava en Slovaquie. Le Tornado Alonso a dévoilé sa liste avec des changements et de nombreux absents.

Comme de nombreuses sélections américaines, Uruguay reste en Europe pour disputer ses deux amicaux de préparation contre deux sélections également qualifiées : l’Iran et le Canada. Le match contre les Iraniens aura lieu à Sankt Pölten le 23, le match contre les Canadiens se jouera dans la capitale slovaque le 27, les deux matchs se jouant à 18 heures.

La sélection est une sorte de mélange excluant quelques absents blessés ou sur le retour (Cavani, Godín, Giménez), mais incluant la majorité du « groupe » formé par Alonso à la fin des éliminatoires. Ainsi, Facundo Pellistri, qui revient de blessure, est bien dans le groupe, tout comme Sergio Rochet qui conserve son poste de numéro 1 dans les cages. Le sélectionneur a choisi un total de vingt-six joueurs, comme prévu pour la Coupe du Monde.

Les nouveautés se situent en défense ou en attaque en l’absence des référents habituels. Derrière, Sebastián Cáceres fait sa première apparition chez les A, lui qui joue au Mexique depuis son départ de Liverpool. Il est accompagné d’Agustín Rogel, qui après un échec à Toulouse, s’est imposé en Argentine à Estudiantes et est donc revenu tenter sa chance en Europe cet été du côté du Hertha. Sur le côté, Guillermo Varela, qui avait disparu après la Coupe du Monde en Russie, fait son retour en sélection au bon moment, lui qui évolue désormais avec Giorgian de Arrascaeta au Flamengo. Devant, l’ancien Brestois Martin Satriano fait son apparition dans le groupe, au côté de Brian Ocampo.

À côté de ses nouveaux et des blessés, la seule disparition est celle de Nahitan Nández, qui avait déjà manqué la fin des éliminatoires à la suite de graves accusations de violence contre son ex-compagne. Le joueur n’ose plus se présenter en Uruguay de peur du juge et c’est une raison plus que valable de ne plus le sélectionner.