Ligue 1 - MHSC - Stade Brestois : Michel Der Zakarian est heureux de son retour gagnant mais... | OneFootball

Michel Der Zakarian a réussi son retour sur le banc de Montpelllier ! L'entraîneur héraultais s'est imposé, ce dimanche, au Stade de la Mosson face à son ancienne équipe du Stade Brestois (3-0, analyse et notes). Après la rencontre, MDZ n'a pas caché sa satisfaction de ce retour gagnant, mais il ne compte pas s'arrêter en si bon chemin. "Le mérite en revient aux joueurs. Les joueurs ont bien travaillé toute la semaine, ont bien bossé, mis beaucoup d’intensité, d’écoute. Ils l’ont matérialisé aujourd’hui. Je ne sais pas si j'ai transformé l'équipe, c’est la volonté de faire les efforts ensemble, de mettre de la justesse. On avait décidé d’aller les chercher haut rapidement pour mettre de l’intensité, que le public soit avec l’équipe, montrer un visage conquérant, ce qu’ils ont fait. C’est ce que j’avais dit aux joueurs, qu’on ait un comportement sur le terrain qui fasse basculer le public. On a besoin de lui pour nous sublimer. Si on veut rester en L1, il faut que tout le monde soit à l’unisson, qu’on travaille fort. Ce qu’ils ont fait en marquant d’entrée" explique Der Zakarian, dans des propos rapportés par Midi-Libre. "On a très bien travaillé ensemble, vers l’avant, ce qui nous a permis de marquer. Chaque fois qu’on l’a fait, on l’a bien fait. On a bien défendu collectivement aussi. Quand on ne prend pas de but, ça donne plus d’aisance. On voit que derrière on est imperméable".

Michel Der Zakarian évoque son retour à Montpellier

Le technicien est heureux de son retour à la Paillade, mais il veut enchaîner les bons résultats. "Je suis très content de revenir. Maintenant il faut continuer, rien n’est fait. On a pris une petite marge. Il va falloir enchaîner. Jusqu’à fin mars, si on remplit bien nos objectifs contre les équipes avec lesquelles on est à la bagarre... Pour ça, il faut continuer à se battre, garder les qualités montrées à l’entraînement. (...) Continuer à afficher cet état d’esprit. Pas de relâchement sinon on prendra des claques".

(FT)