L’ESTAC a préparé un « budget National » et un « budget Ligue 2 », en cas de repêchage | OneFootball

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·13 juin 2024

L’ESTAC a préparé un « budget National » et un « budget Ligue 2 », en cas de repêchage

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Relégué de Ligue 1 et parmi les plus gros budgets de Ligue 2 pour cette saison 2023-2024, l’ESTAC a déçu tout le monde en terminant à la 17e place du championnat, celle du premier relégable qui envoie directement en National. Mais aussi celle du premier « repêchable » en cas de défaut de l’un des autres clubs qui jouent gros lors de leur passage devant la DNCG au cours du mois. Et même si Troyes n’a pas reçu un verdict clair lors de son passage devant l’instance ce mercredi 12 juin, L’Est-Éclair informe dans ses colonnes que seul un document bancaire qui sera transmis rapidement par sa direction manquait lors de son audition.


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Pas de souci particulier à se faire donc pour les Troyens, qui peuvent compter sur le soutien pour l’instant sans faille (uniquement sur le plan financier) du City Football Group, qui perd pourtant beaucoup d’argent avec cette double relégation consécutive et cette saison 2024-2025 à budgéter en National. Mais dans le doute, l’ESTAC aurait aussi un plan pour réintégrer la Ligue 2 et un budget déjà ficelé en cas de sauvetage miraculeux en deuxième division selon nos confrères, qu’il ne devrait qu’à une potentielle rétrogradation administrative ! Pour l’heure, quelques clubs de Ligue 2 sont encore incertains avant de rencontrer la DNCG mais le Red Star (sur qui planait une grande menace) s’en est heureusement sorti sans encombre après sa promotion de N1 et son titre de champion. Pour les Girondins de Bordeaux, c’est moins clair mais Gérard Lopez semble prêt à trouver une fois de plus une solution pour financer l’exercice à venir. Caen doit aussi convaincre après le retrait d’OakTree de son capital et Malherbe a d’ailleurs, comme les Girondins de Bordeaux, repoussé son entretien à la fin du mois de juin. Mais nous ne sommes pas à l’abri d’autres surprises, comme avec les malheureux sochaliens qui n’imaginaient pas à cette époque l’été dernier que leur club était sur le point de péricliter…

Photo Vincent Poyer/Icon Sport

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