Les XI des joueurs formés au PSG et à l'OM | OneFootball

Parfois critiqués pour leur difficulté à mettre en valeur leurs jeunes, le PSG et l’OM ont tout de même apporté de beaux talents au monde du football. Voici le duel des joueurs formés au club.

Le onze marseillais

Parmi les « anciens », seuls Eric Di Meco et le champion du monde 98 Alain Boghossian passent le cut — Roger Scotti (milieu, années 50), Albert Emon (attaquant, années 70) ou encore Benoît Cauet (milieu, années 90) auraient pu en être.

Tout le reste est sorti du centre au XXe siècle et certains ont même brillé sous les couleurs du club (Samir Nasri, Bouba Kamara, André Ayew). Un signe de l’amélioration de la politique de formation du club… ou de la plus grande facilité à s’imposer en équipe première récemment qu’au sein de l’énorme équipe du début des années 90, par exemple.

Les « trous » restent sur le poste de latéral droit (Garry Bocaly, champion de France 2012 avec Montpellier, était l’alternative au pari sur l’avenir Mohamed Simakan), et devant (appelé en Bleu en 2013, Romain Alessandrini est préféré à Jordan Ayew ou Maxime Lopez).

Le onze parisien

Que des internationaux français, dont huit proches ou faisant partie du groupe actuel : voilà un onze en forme de photographie d’un des tout meilleurs centres de formation au monde sur la décennie écoulée. Reste à conserver et/ou faire prospérer ces joueurs au sein de l’équipe fanion, une autre histoire au vu de la concurrence.

Si la plupart des postes sont bien couverts (citons, en vrac, Jonathan Ikoné, Lorik Cana, Timothy Weah, Alphonse Areola, Richard Dutruel, Amara Simba, Boubakary Soumaré, Clément Chantôme…), les postes les plus perfectibles sont peut-être les latéraux… et encore : à gauche, Ferland Mendy a de la concurrence avec Sylvain Distin (près de 500 matches en Premier League), Fodé Ballo-Touré et Jean-Marc Pilorget, joueur le plus capé de l’histoire du club.

Reste le poste d’arrière droit, où Luis Fernandez a parfois dépanné mais était milieu de terrain de formation. Colin Dagba (plus post-formé que vraiment formé au PSG) et Francis Llacer (plus de 200 rencontres dans les années 90) semblent un peu plus loin.

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