Les révélations fracassantes d'un ancien président du Barça | OneFootball

Sandro Rosell, président du Barça entre 2010 et 2014 et à l'origine de la signature de Neymar, a fait des révélations fracassantes.

Sa vie a tourné au cauchemar mais a retrouvé un certain sens le 24 avril 2019 lorsqu'il a été acquitté, faute de preuves, dans une affaire de blanchiment d'argent à hauteur de 20 millions d'euros. Sandro Rosell, président du Barça entre 2010 et 2014 et à l'origine de l'arrivée de Neymar en Catalogne, avait même été emprisonné pendant 22 mois et avait dénoncé des conditions insupportables. Dans le podcast Reset, l'homme d'affaires est de nouveau sorti du silence et a fait des révélations fracassantes. Mais avant, il a évoqué sa nouvelle vie. « J'ai même pensé à prendre ma retraite, mais la chèvre tire sur la montagne et ce que j'aime, c'est le monde du sport et du marketing sportif. J'ai recréé une entreprise à partir de rien. »

« Je consacrerai tous mes efforts pour savoir qui était derrière tout ça »

Sandro Rosell avait mis du temps avant de s'exprimer à la presse et avoue que cette affaire l'a beaucoup impacté. « En cinq minutes, ils détruisent votre vie et il vous faut des années pour la récupérer. Je peux vous assurer que je n'arrêterai pas d'essayer, je consacrerais tous mes efforts et dans la mesure où la loi me le permettra pour savoir qui était derrière tout ça, qui a appuyé sur le bouton rouge. » Il a aussi évoqué l'affaire Negreira très brièvement. « C'est un autre sujet et avec le temps, on saura la vérité. C'est un sujet médiatique alimenté par des personnes qui l'intéressent, mes avocats me disent de ne pas trop parler et c'est pourquoi je ne parle pas.. »

L'ancien boss du Barça a conclu ses révélations en évoquant la présidence et ne ferme pas la porte à un retour. Je pourrais dire qu'être président du Barça est la meilleure et la pire chose expérience que j'ai eue à la fois, dans ma vie. Ce poste use beaucoup. Revenir ? Non, non et je répète non, mais comme le dit un de mes amis, ne dis jamais jamais. Ce qui est clair pour moi, c'est qu'il n'appartient pas à un ancien président de soutenir un autre candidat, il appartient à lui d'être neutre. »

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