Les Orlando Pirates sont épatés par leur nouveau joueur malien, mais il doit d'abord faire ses preuves ! | OneFootball

Ouaddou est satisfait de son nouveau joueur, mais...

Abdoulaye Mariko

Le club sud-africain des Orlando Pirates a enrôlé le Malien Abdoulaye Mariko lors de ce mercato. Le nouvel entraîneur marocain du club, Abdeslam Ouaddou, a confirmé que leur nouvelle recrue avait déjà fait bonne impression auprès de l’équipe, mais qu’il devait d’abord accomplir certaines choses pour que tout se passe bien, selon le coach marocain Abdeslam Ouaddou.

Le joueur de 22 ans est entré en jeu comme remplaçant lors du match d’ouverture de la MTN8 contre Polokwane City, remporté 2-0 par les Pirates. Dès son entrée sur la pelouse, il a ébloui les supporters et le staff technique des Pirates.

Quel est l'axe de progression révélé par le coach marocain que le Malien doit absolument maîtriser ?

La voix du technicien marocain mêlait admiration et prudence mesurée alors qu'il revenait sur la première apparition de son protégé malien en noir et blanc. « Ce toucher, cette vision – vous les avez vus aujourd'hui », acquiesçait Ouaddou, saluant les éclairs de génie qui ont suscité des murmures d’approbation dans les tribunes d’Orlando Stadium après l'entrée de Mariko en seconde période.

Mais sous les compliments, la réalité d’une adaptation continentale s’impose. Le coach se penche en avant, son ton devenant celui d’un guide préparant un voyageur à un terrain difficile : « Imaginez débarquer à Joburg en provenance de Bamako – de nouvelles rues, de nouveaux sons, ces silences entre coéquipiers parce que les mots ne viennent pas encore. » Son doigt martèle la table pour appuyer son propos. «

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Le poids de l’attente était palpable dans la pause qui a suivi. Le regard d’Ouaddou s’est durci alors qu’il évoquait l’exigence permanente du maillot des Pirates : « Ce club ne signe pas des joueurs – il signe des promesses pour des millions de personnes. Le talent d’Abdoulaye n’est qu’un acompte. » La pièce retenait son souffle alors qu’il lançait à Mariko le défi qui marquera son aventure sud-africaine : non seulement s’adapter, mais s’élever.