Walfoot.be
·11 février 2024
In partnership with
Yahoo sportsWalfoot.be
·11 février 2024
Ce n'était pas un grand Anderlecht ce dimanche, mais quelle efficacité. Quelques Mauves ont tiré leur épingle du jeu.
Pas toujours rassurant, mais toujours concentré. Peu d'interventions cruciales à faire mais pas d'erreurs à signaler. Il empêche Charleroi de rêver en toute fin de rencontre, en sortant une tête de Benbouali.
Parfois mis en difficulté par le nouveau venu Jérémy Petris, il a tenu bon. On le sent plus à l'aise qu'à ses débuts à ce poste.
Aussi solide que d'habitude et visiblement agacé de l'apathie générale. Aucune intervention ratée et quelques caviars bien utiles à la relance.
Inhabituellement imprécis à la relance, ses incompréhensions avec Schmeichel s'éternisent également. Moins impérial que contre Gand, mais pas non plus mis en boîte par Dabbagh qui s'écartait beaucoup sur les côtés.
Aucun apport offensif, et des duels difficiles avec Parfait Guiagnon. Heureusement pour lui, Rogelj n'est pas Jérémy Petris.
L'entrejeu carolo a mangé celui du RSCA pendant la majeure partie du match, et Mats Rits n'a pas tiré son épingle du jeu. Certaines relances fleuraient bon la panique. On commence à penser que Thomas Delaney le délogera du onze à son retour...
Quelques récupérations bas dans le jeu, mais aucune projection, aucun dribble, aucun geste disrupteur. Un match terne.
Un match correct, notamment dans ses combinaisons avec Hazard. Toujours ce dernier geste qui fait défaut. Remplacé à l'heure de jeu par Théo Leoni, dont on se demande encore et toujours ce qu'il fait hors du onze.
Deux incursions, deux buts : un auto-goal provoqué et un assist pour Kasper Dolberg. Tout le reste, c'est de la littérature : il voulait être décisif, il l'est. Quelques belles combinaisons avec Verschaeren : dès que ces deux accéléraient, cela allait trop vite pour Charleroi.
Probablement l'un de ses plus mauvais matchs de la saison, mais le Danois a l'habitude de sortir de sa boîte dans ce genre de matchs. Riemer a donc tendance à le laisser sur le terrain "au cas où" quelque chose se passe. Résultat : il fait presque 1-3, puis donne l'assist sur le corner qui suit. Hé oui...
Riemer a rappelé qu'il était le n°1 et sincèrement, on n'en doutait pas après le match de Vazquez contre Gand. Et Kasper Dolberg a remercié son coach en faisant le break. On appelle ça faire le job. Puis, Vazquez est rentré... et remis le doute dans l'esprit de Riemer ? On appelle ça une saine concurrence !
Direct
Direct
Direct
Direct