Les méthodes du Real Madrid pour endiguer la spirale de blessures | OneFootball

Dans le staff médical du Real Madrid, c’est le soulagement. Après une première partie de saison marquée par une série de blessures, l’infirmerie se vide peu à peu. Aujourd’hui, en dehors des très longues blessures de Dani Carvajal et Eder Militao qui seront absents pour le reste de la saison, seul Eduardo Camavinga soigne une blessure au biceps femoral de la jambe gauche. Le club a traversé une tempête au mois de novembre dernier, entre cascade de blessures et contre-performance en série. La menace d’un licenciement de Carlo Ancelotti aurait même été évoquée.

Mais deux mois plus tard, le climat est désormais beaucoup plus apaisé au club. Les résultats sportifs sont revenus à un niveau conforme aux standards de la Maison Blanche et la dynamique de blessures a été stoppée. Le quotidien Relevo indique que pour y parvenir, le club a réduit la charge de travail d’Antonio Pintus. Les joueurs se rapprocheraient à présent de leur pic de forme qui pourrait survenir lors des grosses échéances de février et mars prochains.

Une meilleure collaboration dans le staff médical du Real Madrid

Autre signe de ce calme retrouvé, Relevo explique que les relations entre les médecins et les kinésithérapeutes seraient plus détendues qu’auparavant. Les différents services, auraient commencé à mieux collaborer notamment lors du voyage de l’équipe à Doha en Coupe intercontinentale et à Djeddah pendant la Supercoupe d’Espagne.

En plus de cela, le club a renforcé son département chargé des questions nutritionnelles dirigé par Itziar González de Arriba. Le nouveau programme nutritionnel établi a suscité l’adhésion de la plupart de l’effectif. Ces nouvelles méthodes et ces nouveaux régimes ont eu un impact très positif sur la santé des joueurs. Au Real Madrid, chacun a conscience que la saison est encore longue et que le rythme de matches tous les trois jours continuera d’occasionner des blessures.

Néanmoins, avec ces nouvelles méthodes de travail et ce climat apaisé, les merengue entrevoient l’avenir avec plus de sérénité.

Maxime Blanc