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·18 juillet 2025

Les anecdotes géniales d'un joueur parti du Real Madrid cet été sur Cristiano Ronaldo et Bellingham

Image de l'article :Les anecdotes géniales d'un joueur parti du Real Madrid cet été sur Cristiano Ronaldo et Bellingham

Cristiano Ronaldo aura marqué tous les coéquipiers qu'il a pu côtoyer dans sa carrière. Ces dernières heures, il a reçu un bel hommage de la part d'un ancien partenaire au Real Madrid. Ce dernier en a aussi profité pour faire une belle anecdote sur Jude Bellingham.

Cristiano Ronaldo est une légende absolue du Real Madrid. Joueur à la Maison Blanche entre 2009 et 2018, le Portugais aura inscrit la bagatelle de 450 buts en 438 matchs sous les couleurs madrilènes. Un chiffre dingue qui lui permet d'être le meilleur buteur de l'histoire du club. Forcément, son départ juste après la Coupe du monde en Russie a marqué ses coéquipiers.


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Dans un entretien accordé à The Athletic, Jesus Vallejo, qui a côtoyé le quintuple Ballon d'or dans la capitale espagnole, a eu des mots superbes à son égard : "C'était déjà assez dur, le départ de Cristiano, à cause des buts. Il y a eu un grand vide qu'il a fallu du temps pour combler. C'était un leader, non seulement sur le terrain, mais aussi en dehors. D'ailleurs, j'ai essayé de copier certaines de ses routines au quotidien" a-t-il confié.

Les belles anecdotes de Vallejo

Le tout avant de poursuivre : "Il arrivait au vestiaire avant l'entraînement, mais avant celui-ci, il ne travaillait pas beaucoup physiquement. Après, quand il rentrait chez lui, il travaillait davantage la force, mais privilégiait le travail sur le terrain avant. Il savait quand il fallait s'entraîner et quand il fallait se calmer. En ce sens, il était très professionnel" a salué celui qui vient de s'engager avec l'Albacete Balompié.

Dans cet entretien, il a aussi révélé une belle anecdote au sujet de Jude Bellingham, qui a pris son numéro 5 à son arrivée à l'été 2023 : "Je me souviens qu'ils ont recruté Jude et que le club m'a dit que Jude aimait le numéro 5 qui avait appartenu à Zidane. Je n'avais besoin de rien d'autre, je leur ai dit que bien sûr je serais ravi de lui donner le numéro 5. Une minute plus tard, Jude m'a envoyé un long message en anglais en privé qui était très émouvant. Puis, en personne, pendant la pré-saison, il m'a beaucoup remercié. C'est un gars qui a l'air bien plus vieux que sa carte d'identité. Il a une très bonne mentalité, j'étais ravi de lui donner le numéro avant de le rencontrer et encore plus après l'avoir connu."

Un départ du Real, dix ans après

Invité aussi à s'exprimer sur son coéquipier préféré, il a été on ne peut plus cash : "Carvajal, sans aucun doute. C'est quelqu'un qui m'a beaucoup aidé depuis mon arrivée. Depuis un an, je suis très proche de lui. C'est sans aucun doute quelqu'un qui sera capitaine : c'est un capitaine né, il a un leadership inné" a-t-il confié avant de se prononcer sur les leaders actuels au Real : "Fede Valverde est un leader, un compétiteur qui est très timide dans le vestiaire mais qui change complètement sur le terrain. C'est un gars qui veut tout jouer, c'est un gars qui est contagieux, c'est un gars qui va le plus loin pour l'équipe, le gars qui veut que le moins de jours de récupération soient sur le terrain à l'entraînement. Je pense qu'il va tirer la charrue pendant de nombreuses années à venir."

Enfin, il a conclu en revenant sur la demi-finale retour incroyable de Ligue des champions contre Manchester City en 2022 (3-1, 3-4 à l'aller) : "Tout s'est passé très vite. Je me souviens de l'échauffement sur le banc contre City, où ils m'ont dit d'aller jouer et d'être agressif dans les duels. Puis, dans le vestiaire, je me souviens de la fête, des gens qui s'affolaient. J'ai joué de meilleurs matchs, mais celui-ci a été le plus décisif. On voyait bien que, plus ou moins, nous étions tous importants. De l'extérieur, je comprends le spectateur qui s'étonnait que je n'aie pas joué depuis longtemps et que soudain je joue ce jour-là."

"Écoutez, même si ça a l'air d'une blague, je pensais que je pouvais vraiment jouer à chaque partie. Je pense que c'est ce qui m'a permis de bien jouer, car si je suis déconnecté, c'est impossible. Parfois, c'est inexplicable, même pour ceux d'entre nous qui étaient dans l'équipe. On pouvait voir que l'adversaire était parfois supérieur tactiquement, en termes d'occasions... mais il y avait un mélange de choses : que Courtois était spectaculaire cette année-là, que l'équipe y a toujours cru, qu'ils étaient très unis, et puis les adversaires se sont effondrés avec un but."

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