đŸŽ„ Le transfert d'Adrien Trebel du Standard Ă  Anderlecht a laissĂ© des traces : "Tu te dis que les gens sont des malades" | OneFootball

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·24 avril 2024

đŸŽ„ Le transfert d'Adrien Trebel du Standard Ă  Anderlecht a laissĂ© des traces : "Tu te dis que les gens sont des malades"

Image de l'article :đŸŽ„ Le transfert d'Adrien Trebel du Standard Ă  Anderlecht a laissĂ© des traces : "Tu te dis que les gens sont des malades"

Adrien Trebel a commencé son aventure sur le sol belge au Standard, avant de rejoindre ses deux plus grands rivaux. Un parcours surprenant, que le médian français a expliqué.

Standard, Anderlecht, Charleroi. L'itinéraire d'Adrien Trebel n'est pas commun, c'est une certitude. Le Français, en quittant Sclessin pour Bruxelles, ne s'était déjà pas fait que des amis. Il a cependant expliqué la raison qui l'a poussé à quitter les bords de Meuse.


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"Je ne sais pas si je suis incompris. J'ai fait des choix qui font que les gens ne me comprennent pas spécialement. Ils ne savent pas pourquoi j'ai signé à Anderlecht" poursuivait Trebel dans l'émission "Football Time" de Sacha Tavolieri.

"J'ai toujours dit que les meilleurs supporters de Belgique Ă©taient ceux du Standard. Mais pour mon bien-ĂȘtre et le fait de repousser mes limites, Anderlecht Ă©tait la bonne opportunitĂ©. Ça m'a permis d'avoir des top clubs europĂ©ens qui s'intĂ©ressaient à moi.

L'inconsistance était déjà un problÚme du Standard

C'est donc pour un projet purement sportif que Trebel a fait le passage entre les deux grands ennemis du football belge. Un passage qui a laissé quelques traces, tant sur le plan privé que sur les réseaux sociaux. Le milieu de terrain a essayé de protéger sa famille des dérives survenues.

"Le problĂšme du Standard, et je le savais, c'est que ça se passait bien pendant trois semaines, puis t'as quatre semaines oĂč ça se passe mal. À Anderlecht, quand le TGV est lancĂ©, c'est le rouleau compresseur Ă  tous les matchs. Tout le monde vient au stade, tu gagnes, c'est le club le plus titrĂ© du championnat,..."

"Les gens ont du mal Ă  se mettre Ă  la place des joueurs. Ils ne savent pas ce qu'il y a derriĂšre, pourquoi tu fais des choix
, Quand je fais ce transfert, je savais la pression mĂ©diatique que j'allais subir. J'ai protĂ©gĂ© ma famille au maximum. Ce qui m'a fait de la peine, c'est qu'on s'attaque Ă  ma famille. J'ai vu des vidĂ©os, avec des photos brulĂ©es de mon petit neveu, qui Ă©tait un petit peu la mascotte quand j'Ă©tais au Standard. Tu te dis que les gens, ce sont des malades."

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