Le Real Madrid, roi incontestable du money time en Ligue des champions | OneFootball

Le but de Bellingham inscrit dans les dernières secondes du barrage aller de Ligue des champions contre Manchester City symbolise la philosophie du Real Madrid. Et cet ADN est aussi perceptible à travers les chiffres. Avec cette troisième réalisation inscrite dans le temps additionnel face à l’écurie mancunienne en coupe d’Europe, les Merengues établissent un nouveau record. Celui du plus grand nombre de buts marqués par une équipe contre un même adversaire dans cette période décisive, rapporte Opta Joe.

Un fait qui témoigne une fois de plus du mental exceptionnel des Madrilènes. Ce club n’a pas seulement une histoire, il sait aussi la répéter, en laissant ses adversaires impuissants face à leur destin. Chaque fin de match devient une scène écrite pour le Real, un moment où tout peut basculer, et où lui seul semble garder le contrôle.

Ce nouveau moment de folie illustre parfaitement ce qui fait la force du Real Madrid : une équipe qui ne lâche jamais rien et qui sait renverser des montagnes lorsque tout semble joué. Peu importe le contexte ou l’adversaire, les Madrilènes trouvent toujours un moyen d’imposer leur ADN de vainqueur dans les instants cruciaux.

Instinct de survie unique

Manchester City est une puissance du football moderne, une équipe construite pour dominer et qui possède des moyens colossaux. Mais la Casa Blanca demeure bien plus qu’un géant financier : c’est une institution forgée par l’histoire, la culture de la gagne et un instinct de survie unique. Là où Manchester City impressionne par sa maîtrise du jeu, le Real Madrid brille par sa capacité à frapper au moment où ça compte le plus.

Cette statistique en Ligue des champions n’est pas un hasard, mais bien la preuve que le Real Madrid sait mieux que personne comment gérer la pression et écrire sa légende, encore et encore. Un grand club, ce n’est pas seulement une équipe qui joue bien, c’est une équipe qui sait gagner. Et dans cet exercice, le Real Madrid n’a pas d’égal.

Paul Driss.