Le PSG soulève sa 15e Coupe de France face à l’OL – les tops et flops | OneFootball

Le PSG soulève sa 15e Coupe de France face à l’OL – les tops et flops | OneFootball

In partnership with

Yahoo sports
Icon: le11

le11

·26 mai 2024

Le PSG soulève sa 15e Coupe de France face à l’OL – les tops et flops

Image de l'article :Le PSG soulève sa 15e Coupe de France face à l’OL – les tops et flops

La 107e Coupe de France a rendu son verdict samedi soir à Pierre Mauroy. Le PSG a été sacré pour la quinzième fois de son histoire dans la compétition face à l’OL (1-2). Découvrez nos tops et flops pour cette finale de Coupe de France 2023/2024.

Les tops

Du rythme d’entrée de jeu

Les finales sont réputées pour être des matchs fermés à forte pression. Généralement le rythme est assez pauvre et l’ennui est plus au rendez-vous que le spectacle. Pourtant ce soir, le PSG et l’OL nous on offert un début de match tonitruant avec des occasions de part et d’autre en seulement dix minutes de jeu. Ces nombreuses phases offensives ont fini par être à l’avantage du PSG qui a confirmé son excellent début de match en ouvrant le score au bout de 20 minutes de jeu par Ousmane Dembélé, la faute notamment à des erreurs de Lucas Perri et Saïd Benrahma . Le rythme est peu à peu descendu côté lyonnais, mais pour ce qui est des parisiens, ils n’ont jamais cessé d’aller vers le but, ce qui leur a permis d’enfoncer le clou grâce à Fabian Ruiz.


Vidéos OneFootball


Mbappé repart sur un trophée

Pour son dernier match avec le PSG, Kylian Mbappé n’aura pas pu espérer comme scénario final. Pour son 379e match sous les couleurs parisiennes, le natif de Bondy disputait sa cinquième finale de Coupe de France. Sortir par la grande porte, voilà la marque des plus grands. Ce soir, le meilleur buteur de l’histoire de la compétition n’a pas fait trembler les filets mais l’important était surtout de finir sur une bonne note en remportant ce dernier match avec ce club où il aura passé sept ans de sa carrière. Son bilan lors de son passage au PSG en Coupe de France est de 35 buts en 27 matchs pour quatre victoires dans la compétition.

Les flops

Des incidents tragiques

Cela devait être un soir de fête en ce jour de finale, pourtant le chaos a régné dans l’après-midi à l’approche du match. De violents affrontements ont eu lieu entre les supporters du PSG et les supporters lyonnais. Classé à haut risque (5/5) par les services de la Division Nationale de Lutte contre le Hooliganisme, cette rencontre avait en effet de quoi obtenir ce classement désolant. Mais alors que s’est-il passé réellement ? A la gare de péage de Fresnes, les supporters des deux équipes se sont retrouvés en même temps à ce lieu, où il était prévu que les deux groupes passent afin de rejoindre Lille. Une bagarre générale a éclaté faisant 20 blessés légers, huit policiers ont également été blessés légèrement selon le préfet du Nord Bertrand Gaume. Dans ce drame, un bus a été incendié et le feu s’est propagé jusqu’à la barrière de péage, ce qui a amené les autorités à fermer l’autoroute dans les deux sens. De tristes images qui ne vont pas glorifier le football français…

La presque invisible première mi-temps lyonnaise

Bien que l’Olympique Lyonnais a proposé du jeu face à un PSG très offensif en début de match, le rythme est redescendu et Paris a vite pris l’ascendant sur leur adversaire. Les statistiques parlent d’elles-mêmes, l’OL a eu 0,08 expected goal car les hommes de Pierre Sage n’ont tenté que deux frappes et aucune n’a été cadrée. Quand au secteur défensif, Lyon a été catastrophique, notamment sur le premier but avec deux erreurs simultanées de Lucas Perri avec une sortie hasardeuse et une absence flagrante de marquage sur Ousmane Dembélé qui s’est retrouvé tout seul pour envoyer une tête au second poteau dans les buts du gardien brésilien. Pierre Sage l’a bien relevé en conférence d’après-match : « La première mi-temps n’a pas été la hauteur rendez-vous » ; de quoi avoir des regrets pour les Lyonnais au vu de leur réaction (tardive) en seconde période.

Raphaël CORNETTE

Crédits photo : Anthony Bibard/FEP/Icon Sport

À propos de Publisher