Le PSG gifle déjà l'Inter Miami à la pause, Messi n'existe pas | OneFootball

A la pause, le PSG inflige déjà une vraie claque à l'Inter Miami, notamment porté par un Joao Neves particulièrement efficace en endossant le rôle de double buteur.

Dès l’entame de ce huitième de finale de la Coupe du monde des clubs 2025, le PSG a imposé sa supériorité face à l’Inter Miami, qui peine à exister sur le terrain malgré la présence de Lionel Messi. Le match au Mercedes-Benz Stadium d’Atlanta tourne clairement à l’avantage des Parisiens, qui mènent 4-0 à la pause grâce à un doublé impressionnant de João Neves.

Le milieu portugais a ouvert le score dès la 6e minute d’une tête plongeante parfaite, sur une merveille de centre signé Vitinha. Un but qui a immédiatement mis l’Inter Miami sous pression, les Américains peinant à s’adapter au rythme et au pressing étouffant imposé par le PSG. Dès les premières minutes, Paris a contrôlé la rencontre avec un jeu fluide et collectif, mené par Khvicha Kvaratskhelia qui s’est montré à plusieurs reprises dangereux, notamment avec des débordements incisifs.

Messi ne peut rien faire...

Les Floridiens, emmenés par un Messi presque invisible, n’ont quasiment pas réussi à poser le moindre danger. L’Argentin, dont la venue a bouleversé le football américain, semble pour l’instant absent du match, noyé dans la domination parisienne. Les coéquipiers de Messi ne trouvent pas la solution face à une défense solide et un milieu parisien qui ne laisse que des miettes.

Juste avant la pause, Neves a doublé la mise (39e), profitant d’une erreur adverse pour finir calmement au fond des filets, confirmant que ce PSG-là est bien décidé à se promener. Derrière, la charnière Marquinhos-Pacho reste impériale, empêchant toute velléité offensive de l’Inter Miami.

Dans l’ensemble, le PSG déroule son football avec facilité, alliant pressing intense et phases de jeu collectives bien orchestrées. Avec pour preuve un autre but contre son camp d'Aviles juste sur un centre de Doué (45e). Puis un dernier but de Hakimi sur une action rondement menée (45+3e). Les Américains souffrent dans tous les compartiments du jeu, et la pause arrive comme une délivrance pour eux.

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