Le PSG démarre sa Coupe du monde par un succès sur l'Atlético de Madrid | OneFootball

Pour son entrée en lice en Coupe du monde des clubs, le Paris Saint-Germain a assuré en dominant l'Atlético de Madrid à Pasadena.

Le Paris Saint-Germain démarre bien ! Ce dimanche 15 juin, le club de la capitale effectuait son entrée en lice dans la toute nouvelle Coupe du monde des clubs par un choc européen contre l'Atlético de Madrid. Au mythique Rose Bowl de Pasadena, le club de la capitale a assumé son statut de champion d'Europe en titre en dominant les partenaires d'Antoine Griezmann (4-0).

Ruiz et Vitinha montrent la voie

Si la première alerte a toutefois été madrilène, avec un coup-franc axial de Julian Alvarez aux 20 mètres passé tout proche du poteau de Gianluigi Donnarumma (3e), le PSG de Luis Enrique a rapidement mis la main sur le rythme de la partie. Plus à l'aise et en jambe que les Colchoneros sous le cagnard américain, les champions de France et d'Europe ont pu déployer leur expression collective et se procurer quelques opportunités. Puis est arrivé ce qui devait arriver : l'ouverture du score parisienne.

Sur un mouvement collectif amorcé par Désiré Doué à l'entrée de la surface, Khvicha Kvaratskhelia a décalé l'Espagnol Fabian Ruiz en retrait. Le milieu de terrain, d'une frappe sèche à ras-de-terre, n'a pas manqué la cible en croisant dans le petit filet d'un Jan Oblak impuissant (19e, 1-0). Étouffé par son adversaire, l'Atlético a timidement tenté de réagir en s'offrant sa seule frappe cadrée de la première période, captée sans problème par Donnarumma. Une erreur pour Antoine Griezmann et les siens, punis aussitôt par un contre conclu en solo par une lourde frappe de Vitinha (45e, 2-0).

L'Atlético frustré

Sur de bons rails, les Parisiens ont poursuivi leur domination au retour des vestiaires. Sur une tentative enroulée, Kvaratskhelia fut même très près d'inscrire un troisième but. Mais Jan Oblak, le portier madrilène, s'est détendu pour détourner le cuir sur la transversale (49e). Logiquement privé d'une réduction du score pour une faute sur Désiré Doué en amont d'une conclusion d'Alvarez (57e), l'Atlético s'est montré de plus en plus frustré au cours des minutes. Au point de terminer à dix après une protestation de Clément Lenglet, déjà averti (79e). Alexander Sorloth n'a pas non plus aidé ses partenaires avec son immanquable face au but ouvert des Parisiens (82e).

À force de subir et de courir après le ballon dans une rencontre aux airs et au rythme de match de préparation, Madrid a fini par encaisser un dernier but. Sur une succession d'erreur défensive de son adversaire espagnol, le PSG en a profité pour trouver le chemin des filets grâce à Senny Mayulu, déjà buteur en finale de la dernière Ligue des champions (87e, 3-0). Lee Kang-In, entré en cours de deuxième mi-temps, a conclu la démonstration en convertissant un penalty au bout du temps additionnel (90+6e, 4-0). De quoi valider avec brio une entrée en matière réussie pour Luis Enrique et sa bande, favoris à la victoire finale le 13 juillet prochain. Place désormais au deuxième match contre les Brésiliens de Botafogo le vendredi 20 juin (3h) puis au troisième contre les Américain de Seattle Sounders le lundi 23 juin (21h).

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