AS Saint-Étienne
·28 septembre 2024
In partnership with
Yahoo sportsAS Saint-Étienne
·28 septembre 2024
"Dans le contenu, on a été un peu plus cohérents que la semaine dernière, on a conservé les valeurs qui nous animent depuis un petit moment dans les duels, dans le fait d’être plus compacts. On savait que Nantes était une équipe qui allait nous poser beaucoup de problèmes, car c’est une belle formation, qui a un réel projet de jeu. Peu d'équipes concurrentes directes viendront prendre des points ici. Donc oui, c’est une victoire qui va nous faire du bien. Je la trouve plus construite que la semaine passée mais on est encore loin des standards de ce que l’on peut faire."
"La presse m’avait questionné sur un éventuel souhait de vivre le même scénario que contre Reims, à savoir ouvrir le score assez vite. Bien sûr que tout coach aimerait le faire. Aujourd'hui ça s’est reproduit, mais ce n’était pas forcément dans nos attentes. On était en place et on savait qu’on allait leur poser des problèmes. Peut-être que si on ne marque pas ce but, on marque différemment parce qu’on s’est précipités après dans les transitions en perdant des ballons un peu facilement. Il y a eu une forme de pression au fur et à mesure sur ce match-là parce que Nantes a mis les ingrédients pour nous poser problème. Après une ouverture du score rapide, le temps est long, très long."
"C’est paradoxal parce que sur les cinq matches de préparation ça se passait plutôt bien, on était capables de conserver collectivement le ballon, d’avoir ces appuis-remises, d’être proches dans le temps de passe, mais pour l’instant, on ne le retrouve pas. Cependant plusieurs joueuses n’étaient pas présentes sur les dernières rencontres, il faut aussi que les automatismes se trouvent, se créent. "
Ce soir, il y a la blessure de Nadjma Ali Nadjim qui n’est pas une bonne nouvelle. On va attendre les examens, mais je suis peu confiant par rapport à l’issue du diagnostic. Cela signifie que l'on va devoir repenser un peu l’équipe et notre animation au milieu de terrain. On pense à elle."