Laurent Crocis : “La liquidation, à mon avis, il ne faut pas en venir à cette extrême-là. C’est repartir en R1 minimum…” | OneFootball

Laurent Crocis : “La liquidation, à mon avis, il ne faut pas en venir à cette extrême-là. C’est repartir en R1 minimum…” | OneFootball

In partnership with

Yahoo sports
Icon: Girondins4Ever

Girondins4Ever

·21 mai 2025

Laurent Crocis : “La liquidation, à mon avis, il ne faut pas en venir à cette extrême-là. C’est repartir en R1 minimum…”

Image de l'article :Laurent Crocis : “La liquidation, à mon avis, il ne faut pas en venir à cette extrême-là. C’est repartir en R1 minimum…”

Sur TV7, le journaliste Laurent Crocis a été invité à faire part de son avis sur le scénario idéal pour la suite des Girondins de Bordeaux. Est-ce avec ou sans Gérard Lopez ?

« La liquidation, à mon avis, il ne faut pas en venir à cette extrême-là. Tout va dépendre de la décision du Tribunal de Commerce. Mais il y a aussi une date importante, le 26 mai, la veille de la présentation par les dirigeants bordelais du plan de continuation. Un éventuel repreneur, pour entamer une procédure de cession, doit se manifester avant cette date-là. Là, le tribunal devra juger s’il est mieux-disant que le plan de continuation présenté par Gérard Lopez et Laurent Cotret, l’avocat des Girondins. S’il est mieux-disant pour assurer la survie et la pérennité du club. La liquidation, c’est repartir en R1 minimum… Je ne vois pas la Fédé faire un cadeau aux Girondins. On a quand même un changement de ton des collectivités, on a un changement de ton du côté des supporters, on le voit. Je mets à part les North Gate, les Ultramarines, je parle des autres supporters. Beaucoup demandent le départ de Gérard Lopez, et la grande majorité demande un plan de cession, avec le risque de repartir plus bas ».

En tout cas mardi, il n’y avait pas de repreneur qui s’est présenté au Tribunal de Commerce de Bordeaux.


Vidéos OneFootball


« Ce mardi matin, d’après nos informations, il n’y avait à date aucun plan qui avait été déposé auprès du Tribunal de Commerce. Donc cela signifie qu’il faut 30 millions d’euros pour assurer la pérennité du club et être mieux-disant, et derrière… La Métropole fait quand même encore un cadeau. Elle actionne la lettre de garantie, sans savoir quelle est la vraie valeur juridique de ce document car c’est quand même assez flou, et d’un autre côté elle ne demande, pour la saison à venir, qu’un loyer de 1 million d’euros… ».

Image de l'article :Laurent Crocis : “La liquidation, à mon avis, il ne faut pas en venir à cette extrême-là. C’est repartir en R1 minimum…”
À propos de Publisher