Laurent Brun : “La grève des encouragements, je la comprends, même si je trouve qu’elle est arrivée tardivement, peut-être trop tardivement” | OneFootball

Laurent Brun : “La grève des encouragements, je la comprends, même si je trouve qu’elle est arrivée tardivement, peut-être trop tardivement” | OneFootball

Icon: Girondins4Ever

Girondins4Ever

·9 mai 2024

Laurent Brun : “La grève des encouragements, je la comprends, même si je trouve qu’elle est arrivée tardivement, peut-être trop tardivement”

Image de l'article :Laurent Brun : “La grève des encouragements, je la comprends, même si je trouve qu’elle est arrivée tardivement, peut-être trop tardivement”

Pour Bordeaux Le Mag, le journaliste Laurent Brun a évoqué la grève des encouragements des Ultramarines, tout en réagissant aussi aux propos du Président des Ultramarines, qui étaient ceux-ci : « On n’a rien à se reprocher. On est droits dans nos bottes. On a supporté ce qu’on pouvait supporter. Maintenant, on ne peut plus supporter l’insupportable ».

« Je suis d’accord sur la dernière partie de la citation, pas sur la première. Après, ce n’est pas tout le monde, et heureusement que les Ultramarines sont là. Après, ils ne représentent pas non plus toute la population des supporters bordelais, et toute la population du Virage Sud. Ils ont le droit de s’exprimer. La grève des encouragements, je la comprends, même si je trouve qu’elle est arrivée tardivement, peut-être trop tardivement. Mais peut-être que ça aussi, ça a permis aux Girondins, aux joueurs, de se booster un peu et de montrer autre chose. C’est peut-être positif. Après, les sifflets, je ne comprends pas. Je rejoins en tout cas le Président des Ultramarines sur la seconde partie de la citation, car ils sont toujours là les Ultramarines, à domicile, à l’extérieur : c’est une force vive. Après, cette saison, ils ont des raisons de protester aussi. Je pense que sur les saisons précédentes, certains d’entre eux ne sont pas restés à leur place. Chacun doit être à sa place dans le club, les joueurs, les dirigeants, les supporters, le corps médical, et les journalistes… Parfois, je pense qu’on s’est cru en capacité ou en devoir de changer de strapontin. Je pense que ça n’a pas été bon, ça a été très négatif pour le club, et ça a apporté de gros préjudices pour le club. On l’a vu notamment sur un match il y a deux-trois ans avec Costil, ce qui s’est passé en dehors, et on l’a vu l’année dernière avec ce pseudo supporter qui vient bousculer un joueur de Rodez… Non, ça, c’est catastrophique ».

À propos de Publisher