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·17 mai 2024

"La Vie en Vert" s'offre une deuxième mi-temps et une immersion chez les supporters de l'AS Saint-Étienne

Image de l'article :"La Vie en Vert" s'offre une deuxième mi-temps et une immersion chez les supporters de l'AS Saint-Étienne

Pour son deuxième tome, "La Vie en Vert" de l'auteur Pascal Pacaly, s'offre une immersion à travers les âges chez les Ultras et supporters de l'AS Saint-Étienne.

Pascal Pacaly siffle sa deuxième mi-temps. Après le premier tome de "La Vie en Vert", l'auteur de 46 ans revient avec un second pour immiscer à travers les âges chez les Ultras et supporters de l'AS Saint-Étienne. À travers ce deuxième tome, ce passionné du club du Forez depuis son enfance tend à dévoiler le "côté sociétal qui transpire encore et toujours sur les murs de Geoffroy-Guichard", la mythique enceinte de l'ASSE. "Bien peu de villes françaises peuvent s’enorgueillir de mélanger sa passion du foot avec son identité culturelle. Qu’importe le niveau social, le sexe, ou l’âge. Tous les Stéphanois se réunissent derrière les hauts et les bas d’un club dont l’amour est souvent une part d’héritage familial", rappelle Pascal Pacaly. Ainsi, et pour la première fois, les kops et associations de supporters se livrent et ouvrent leurs portes. C'est le cas des Magic Fans, des Green Angels, des Indépendantistes stéphanois 98 et de l'USS, qui se racontent chacun aux côtés de personnages incontournables des Verts, comme Dominique Rocheteau, Lubomir Moravcik, Frédéric Antonetti ou encore Ivan Curkovic. Bref, "des années 60 à aujourd’hui, voyagez dans un monde Vert de la tête… aux pieds !".


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Extrait sur la nouvelle de Dominique Rocheteau

S’il ne la joue pas en entier, cette finale, c’est à cause d’une blessure, d’un claquage lors du match retour contre le PSV Eindhoven, en demi. Il reste un mois avant la finale, alors, il y a sûrement le temps de guérir, non ? « En fait, je pense que notre erreur, avec le club, c’est que je suis reparti chez mes parents en Charente-Maritime pour me reposer. Avec le recul, j’aurais dû rester à Saint-Étienne, pour bénéficier des soins du club. Sauf que je suis rentré une dizaine de jours avant la finale et malgré tous nos efforts, on n’a pu soigner la blessure complètement. Après un ultime test cinq jours avant, j’ai senti que la douleur était toujours là. J’étais dégoûté. Seul, dans les vestiaires, et malgré le réconfort du Dr Poty, j’éclate alors en sanglots. Bien sûr, de nos jours, de telles choses - le fait de repartir chez mes parents - seraient impossibles. Je me rappelle encore que deux jours avant la finale, je suis chez Roby et on prend la décision de me mettre sur le banc des remplaçants et de me faire rentrer uniquement s’il y a besoin, si on perd…

> "La Vie en Vert, seconde mi-temps" (Les Éditions des Joyeux Pendus) de Pascal Pacaly est dispo : https://leseditionsdujoyeuxpendu.com/ouvrages/la-vie-en-vert-seconde-mi-temps/.

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