La direction d'Anderlecht n'ignore pas Jesper Fredberg : le CEO Sports va jouer sa dernière carte, et voit la pression grandir autour de lui | OneFootball

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·20 septembre 2024

La direction d'Anderlecht n'ignore pas Jesper Fredberg : le CEO Sports va jouer sa dernière carte, et voit la pression grandir autour de lui

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Avec le licenciement de Brian Riemer, une nouvelle phase commence dans la reconstruction d'Anderlecht. La pression repose désormais surtout sur Jesper Fredberg, le directeur sportif du club. Fredberg obtient une dernière chance de la part de la direction pour inverser la tendance avec la nomination d'un nouveau coach.

Le départ de Riemer s'explique en partie par les déceptions de la saison précédente, lors de laquelle Anderlecht n'a pas su retrouver le titre malgré une bonne position à l'entame des Play-Offs. La défaite contre le Club de Bruges, où les Mauves avaient été balayés dans le jeu et avaient obtenu une plus courte défaite que ce que le scénario présageait, est devenue le symbole de la saison qui aurait dû marquer le renouveau du club.


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En ce début de nouvel exercice, il est rapidement apparu qu'il n'y avait pas eu de progrès majeur dans le fond de jeu. Cela a soulevé la question de savoir si cela était dû aux compétences de Riemer ou à l'effectif que Jesper Fredberg avait constitué.

Jesper Fredberg va jouer sa dernière carte à Anderlecht

Fredberg misait beaucoup sur le recrutement de Christian Eriksen, mais quand cela a échoué, il n'avait pas de plan B. Une situation qui a suscité des critiques, y compris de la part du co-propriétaire Marc Coucke, qui a suggéré qu'il y avait des moyens suffisants pour un transfert.

Malgré la foi de Fredberg en la qualité de l'effectif actuel, certaines de ses décisions se révèlent décevantes. Des joueurs comme Simic et Zanka n'ont pas encore fait forte impression, tandis que Dolberg et Dreyer ne retrouvent pas leur niveau de l'année dernière.

Le milieu de terrain manque de créativité, avec Verschaeren et Leoni qui ne sont pas au niveau souhaité. Maintenant que Riemer est parti, Fredberg se retrouve aussi sous une pression croissante. Bien qu'il ait encore la confiance de la direction, sa marge de manœuvre est limitée. Les semaines à venir seront cruciales, non seulement pour les performances de l'équipe sous la direction intérimaire de David Hubert, mais aussi pour l'avenir de Fredberg. Le CEO Sports du RSCA va jouer sa dernière carte.

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