Jordan Ferri : « En Ligue 1, on fait plutôt face à des milieux de terrain très athlétiques » | OneFootball

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·7 septembre 2024

Jordan Ferri : « En Ligue 1, on fait plutôt face à des milieux de terrain très athlétiques »

Image de l'article :Jordan Ferri : « En Ligue 1, on fait plutôt face à des milieux de terrain très athlétiques »

Il y a quelques mois, Jordan Ferri, sur le site de la Ligue 1, évoquait sa taille et ce que cela implique comme adaptation dans le jeu. Si cela n’a jamais été un inconvénient, il a essayé d’en faire un atout pour une longévité dans l’élite. Il préfère d’ailleurs être opposé à des joueurs athlétiques plutôt que des joueurs avec un centre de gravité bas et vif sur les appuis.

« Les milieux de terrain de petite taille ont toujours existé. Je pense que c’est l’un des seuls postes où la taille n’est pas rédhibitoire, car en défense ou en attaque, c’est plus difficile de s’imposer. Après, ça demande beaucoup de travail, du renforcement athlétique au développement de l’intelligence de jeu, pour essayer de compenser ce déficit de gabarit.


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Le foot est quand même assez hétérogène. Il y a toutes sortes de gabarit et de physique. On ne m’a jamais reproché mon déficit de taille. Au contraire, ça a pu être un atout ! Et j’ai toujours fait en sorte que cela en soit un. Je ne l’ai jamais perçu comme un inconvénient. Au fil du temps, j’ai pris l’habitude de jouer contre des gabarits supérieurs au mien, que ce soit en taille ou en masse musculaire, et j’ai essayé de m’adapter à cela de la meilleure des manières.

Image de l'article :Jordan Ferri : « En Ligue 1, on fait plutôt face à des milieux de terrain très athlétiques »

(Photo by Christophe Saidi/FEP/Icon Sport)

Je n’ai pas réellement de préférence. Mais ça me dérange moins de jouer contre un grand ultra physique qu’un petit avec énormément de vivacité. Les petits gabarits, c’est vraiment très difficile de leur récupérer le ballon. Après, en Ligue 1 Uber Eats, on fait plutôt face à des milieux de terrain qui sont très athlétiques.

Ça fait maintenant plus de dix ans que je suis en Ligue 1 Uber Eats (1er match disputé en décembre 2012). On va dire que j’ai su faire avec (sourire). J’ai toujours essayé de perfectionner mon style de jeu, d’en faire un atout et d’être le moins possible désavantagé. »

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