« Je n’ai pas apprécié. Dire qu’ils m’ont recontacté récemment… » Kurzawa à propos de sa signature ratée au FC Nantes | OneFootball

Quel supporter ne rêverait pas de recruter le seul défenseur de l’histoire à avoir inscrit un triplé en Ligue des Champions ? C’est ce qu’à failli faire le FC Nantes, en essayant de faire signer pour six mois Layvin Kurzawa. Dans une interview dédiée au journal L’Equipe, le défenseur du Paris Saint-Germain revient sur son échec à s’imposer sur le long terme dans le club de la capitale, mais aussi sur un prêt au FC Nantes, qui a failli aboutir.

Approché par le FC Nantes en janvier

Interrogé sur un éventuel passage sur les bords de l’Erdre, l’ancien tricolore explique avoir d’abord été contacté par Moussa Sissoko. Les deux joueurs se connaissant bien, le milieu de terrain Canari aurait informé le parisien de l’intérêt des Jaune-et-Vert à son égard.

« J’ai dit :  »Aucun problème, qu’ils m’appellent ». Je leur explique que j’irais là-bas avec grand plaisir pour six mois. À Nantes, ils étaient hyper surpris. Je n’avais qu’une seule envie, rejouer au foot. »

Partant pour rejoindre l’aventure nantaise, Kurzawa fait le nécessaire avec Luis Campos (directeur sportif du PSG), qui lui donne son feu vert. Cependant, au dernier moment, une nouvelle variante entre en jeu et le prêt capote.

« J’ai mis les deux clubs en relation, j’avais préparé ma valise, mais je n’ai plus eu de nouvelle jusqu’à 22 heures. Et Nantes me dit qu’ils ont finalement préféré faire un joueur à l’achat, alors que ça n’a pas été le cas (Nicolas Cozza a été prêté sans option d’achat par Wolfsburg). »

Le latéral gauche ne masque pas son agacement vis-à-vis de ce transfert. En toute fin d’interview, il envoie même une pique aux dirigeants nantais, à propos de leur intérêt pour lui dans ce mercato estival.

« Je n’ai pas apprécié. Dire qu’ils m’ont recontacté récemment… »

Une phrase forte, qui signifie clairement que le défenseur parisien ne portera pas le maillot jaune et vert la saison prochaine, en dépit de l’intérêt que lui portent Waldemar Kita et ses associés.