Jamel Debbouze à Johan Micoud : « Si je peux me permettre, Johan franchement, vous n’êtes absolument pas loin (de Zizou) pour moi… Ah ouais vraiment… Footballistiquement je te jure… » | OneFootball

« Mon héros… Ma parole, incroyable, tu m’as fait tellement rêver. Je t’ai vu jouer à Cannes, ensuite Bordeaux, et après je t’ai laissé faire tes trucs en Allemagne… (rires). Mais tu m’as fait délirer, vraiment. (Micoud lui dit que pourtant Bordeaux a souvent tapé Paris) Oui, je sais, je sais, mais je fais la différence quand même. Je sais reconnaître le talent quand j’en vois un (sourire). »

« Si je peux me permettre, Johan franchement, vous n’êtes absolument pas loin (de Zizou) pour moi… Ah ouais vraiment… Footballistiquement je te jure… Je trouve qu’il y a un client avec nous. Alors évidemment, pas au même moment et vous n’avez pas eu la même histoire. Mais footballistiquement… »

« Je l’ai formé à Cannes et après je l’ai laissé et je me suis sacrifié (rires). C’était autre chose, c’est un joueur à part. »

« C’était un joueur à part et le moment était à part. Il ne nous a pas fait une Coupe du Monde transcendante mais il a marqué la terre entière avec ses deux têtes au bon moment. C’est ce qu’on attend d’un très grand joueur. C’est vrai qu’au-delà du foot il a fait du bien ailleurs. C’est ça qui m’a le plus touché. Souvenez-vous, on comparait cette finale de 98 à la libération. Le quotidien L’Equipe a utilisé les mêmes mots (pour sa une), je ne suis pas fou. Donc c’était un moment de l’histoire de France qui était important. »

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