Huijsen-Isco : un message oublié, une réponse 8 ans plus tard ! | OneFootball

Dean Huijsen a enfin rencontré l’un de ses idoles. Après la victoire 5-4 en demi-finale de la Ligue des Nations contre la France, le nouveau défenseur central du Real Madrid a été photographié avec Isco, ancien joueur madrilène, à la fin du match. D’abord, le jeune homme de 19 ans a publié une story Instagram où il échangeait son maillot avec le Malaguène. Cependant, quelques minutes après avoir posté le cliché sur les réseaux sociaux, l’ancien joueur de Bournemouth s’est rendu compte d’un détail très amusant.

Quand on publie une story sur Instagram et que l’on identifie une autre personne, cette mention apparaît dans la conversation privée entre les deux. Ainsi, lorsque Dean Huijsen a publié la photo avec Isco, le défenseur a remarqué un message révélateur qu’il avait sans doute oublié. Le 21 avril 2017, Dean avait déjà contacté son désormais coéquipier en sélection. Pour les 25 ans du milieu de terrain, Huijsen, qui venait de fêter ses 12 ans (le 14 avril), avait félicité l’actuel joueur du Betis. « Joyeux anniversaire crack », avait alors écrit l’adolescent à l’Andalou.

Huijsen rencontre son idole avec la Roja

Un détail très curieux et amusant que Dean lui-même a partagé sur son compte Instagram. Le défenseur a publié « 2017-2025 », plaisantant sur la situation : l’un de ses idoles l’avait laissé « en vue »… pendant huit ans ! Pourtant, cela devient de plus en plus courant. Avec l’essor des réseaux sociaux, n’importe qui peut tenter de contacter ses modèles, mais il en va autrement pour que ces derniers voient le message. Après tout, les personnalités publiques accumulent des millions d’abonnés et leurs boîtes de réception sont souvent saturées.

Le plus étonnant, c’est que, par les hasards de la vie, Huijsen et Isco se sont finalement croisés, et ce message oublié pendant des années a enfin été lu et répondu, montrant que dans le football, comme dans la vie, on ne sait jamais quand ce moment spécial peut arriver… même avec huit ans de retard.

Ben Fernandes