Grzegorz Krychowiak (Pologne) : "On n'a pas peur de la France" | OneFootball

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·1 décembre 2022

Grzegorz Krychowiak (Pologne) : "On n'a pas peur de la France"

Image de l'article :Grzegorz Krychowiak (Pologne) : "On n'a pas peur de la France"

Le milieu de terrain de l'équipe de Pologne Grzegorz Krychowiak s'est exprimé sur le huitième de finale de Coupe du monde à venir face à la France, dimanche (16h).

C'est un visage bien connu du championnat de France que les Bleus s'apprêtent à croiser ce dimanche. À l'occasion des huitièmes de finale de la Coupe du monde 2022 au Qatar, l'équipe de France de Didier Deschamps va effectivement se frotter à la Pologne d'un certain Grzegorz Krychowiak. Passé notamment par Bordeaux, Reims ou encore le Paris Saint-Germain, le milieu de terrain de 32 ans sera effectivement aux prises avec les tenants du titre dimanche (16h), pour une place en quarts de finale. Pour obtenir leur place face aux Tricolores, l'ancien Parisien et ses coéquipiers ont toutefois souffert dans la poule C. Battus par l'Argentine ce mercredi soir (0-2), ces derniers passent par un trou de souris ! Mais passent, quand même. Et affronteront la France, donc.


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"Si on veut créer la surprise contre les Bleus il faudra déjà jouer différemment, surtout avec le ballon, a d'ores et déjà prévenu Grzegorz Krychowiak, dans la foulée de la défaite face à Lionel Messi et compagnie. Donc on va bien analyser cette défaite face à l'Argentine pour essayer de produire quelque chose de différent contre la France." L'actuel joueur d'Al-Shabab (Arabie Saoudite) ne compte pas non plus craindre Kylian Mbappé et sa bande. "Non, on n'a pas peur. Évidemment qu'ils sont favoris et que tout le monde doit certainement les voir gagner facilement contre nous. Après le match qu'on a fait contre l'Argentine, je serais du même avis. Mais ça sera à nous de leur poser des problèmes et de créer la surprise. Mais pour ça il faudra s'améliorer. On sait très bien qu'on sait défendre, tenir longtemps, mais c'est difficile de le faire pendant tout un match. Il faut aussi réussir à être dangereux", a terminé par réclamer le Polonais, en rappelant que les Bleus étaient "forts partout", dans "toutes les lignes".

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