Grenoble – Maurizio Jacobacci, un entraîneur vu de Suisse | OneFootball

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·21 juin 2021

Grenoble – Maurizio Jacobacci, un entraîneur vu de Suisse

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Tout le monde a, comme Le Dauphiné Libéré ou ML2, tenté de brosser le portrait, et savoir qui est Maurizio Jacobacci, nouvel entraîneur de Grenoble. Inconnu en Ligue 2, l’Italien de 58 ans arrive de Suisse, et plus précisément du FC Lugano, où son travail a été remarqué. En tout cas suffisamment pour retenir l’attention du GF38, et l’attirer de l’autre côté des Alpes ! Dans l’envie de connaître encore plus le coach, le journal DL est même allé plus loin, questionnant trois personnes ayant croisé la route de l’Italien. Et c’est l’unanimité, sur l’homme aux cheveux poivre et sel. Morceaux choisis.


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Stéphane Rinaldi, Radiotelevezione Svizzera (RTS) : « Il a terminé quatrième et cinquième du championnat et franchement, emmener Lugano à ce niveau, c’est un exploit. »

Nicolo Casolini, (RTS) : « Il a entraîné en Suisse italienne, romande et allemande. Il a beaucoup d’expérience. Maurizio est attachant. Il est disponible pour les médias et les supporters. Et plus, il parle italien, français, allemand, anglais… Cela peut avoir son importance dans un vestiaire. C’est un gros travailleur, il est tous les jours sur le terrain ou dans son bureau. Il passe beaucoup de temps à décortiquer ses adversaires grâce aux analyses vidéo. Il ne laisse rien au hasard. »

Tous sont dithyrambiques sur l’entraîneur et sa compétence

Marco Padalino directeur sportif de Lugano : « Avant son arrivée, notre équipe était trop offensive. On marquait des buts mais on en encaissait aussi beaucoup. Maurizio a d’abord ramené de l’équilibre, de l’ordre. Chez nous, il a beaucoup joué en 5-3-2. Pour lui, les deux joueurs les plus importants étaient les deux pistons sur les côtés. Son deuxième système préférentiel, c’est le 4-3-3. Pour moi, c’est un peu une surprise qu’il soit parti en France. Après ses deux saisons chez nous, je pensais qu’il rejoindrait un gros club de la Super League. »

Crédits photo : Manuel Geisser / Imago.

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