Grégory Poirier (Martigues) après la victoire contre Niort : "On a fait un grand coup mais rien n’est joué" | OneFootball

Découvrez la réaction de Grégory Poirier, entraîneur du FC Martigues, après la victoire contre les Chamois Niortais Football Club lors du choc de la 31e journée du championnat National.

Un véritable tournant. Les Chamois Niortais Football Club ont reçu le FC Martigues à l’occasion du premier match de la trente-et-unième journée du championnat National. À l’issue d’une rencontre passionnante, les hommes de Grégory Poirier se sont largement imposés (3-1) grâce à des buts d’Abdoul Diawara (11e), Karim Tlili (45+2) et Gaëtan Missi Mezu (68e) contre une réalisation de Marks Inchaud (36e). Grâce à cette victoire, la quinzième de la saison, le club martégal chipe la deuxième place à son adversaire du jour à trois journées de la fin de la saison 2023-2024. Les Martégaux sont en position de force pour la montée en Ligue 2. À l’inverse, les Niortais n’ont plus leur destin en main. Pour rappel, la 31e édition de la troisième division française offre deux tickets pour le monde professionnel. Le premier a été remporté par le Red Star.

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La joie de Grégory Poirier

Dans une interview accordée à la Nouvelle République, l’entraîneur du FC Martigues de Grégory Poirier a félicité ses joueurs. De plus, le technicien a conscience que son équipe a réalisé une excellente opération dans la course à la montée en Ligue 2. Néanmoins, il demande à l’ensemble de son groupe de rien lâcher jusqu’à la fin de la saison : "Sur le contenu, c’est particulier car on a un peu fermé le jeu. C’était rare mais on l’a fait pour l’opération mathématique, il fallait se sacrifier. On a refusé le jeu en première période et ça a payé. Il a fallu un peu bricoler avec les absents et j’ai tenté un coup avec le 3-5-2. On les a pris en contre sur premier but mais on n’a pas l’habitude de souffrir autant sur la première demi-heure. J’ai changé de système et cela nous a permis d’être mieux dans le jeu. On voulait les faire sortir, bouger les lignes, faire déplacer les joueurs et donc, on les a attendus en contre. À quatre journées de la fin, sur les matchs à enjeu, il faut être tueur, dans l’efficacité, opportuniste. Sur les deux occasions qu’on a en première période, on met deux buts. Un fois qu’on était devant au score, c’était encore plus facile à gérer. On a été très matures dans la gestion du match. On a fait un grand coup mais rien n’est joué. Il faut rester humble dans le travail."

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