Girondins : révélations sur la brutalité des licenciements à Bordeaux | OneFootball

Le quotidien sportif L'Équipe publie ce mardi matin un article consacré aux personnes licenciées cet été par les Girondins de Bordeaux. Parmi les 86 salariés qui ont été privés de leur travail, certains ont témoigné. Extraits.

Ce 17 décembre L'Équipe dévoile la réalité de certains salariés licenciés par la direction du FCGB. Le manque de considération des dirigeants du club est pointé du doigt ainsi que la brutalité de l'annonce.

Nous avions eu, sur WebGirondins, le témoignage de Franck Chaumin, entraineur des gardiens de but à la formation, le 21 novembre dernier : "La manière dont cela a été fait a été un peu brutale. À midi, je rentre et vois un mail du club me stipulant que mon contrat s'arrête ce soir. Il n’y a eu aucun délai." (Lire notre entretien ici).

Traumatisme

L'idée n'est pas de vous citer tous les témoignages recueillis par l'Équipe, mais les plus marquants.

"Ce licenciement est un traumatisme, car la direction n'a pas du tout communiqué avec nous. On a tout appris dans la presse (...) Gérard Lopez je l'ai rencontré une seule fois en 3 ans" dévoile à L'Équipe une source ayant travaillé au service commercial du club pendant plus de quinze ans.

Les confidences sont multiples dans cet article où l'on apprend que la gestion humaine est "insuffisante", "brutale" où l'on découvre que le directeur financier "Axel Cornier a envoyé un message au DRH des Girondins, François Perroy, l'invitant à « broyer les salariés » dans le cadre du plan de sauvegarde de l'emploi." Édifiant.

Aujourd'hui, une dizaine de salariés administratifs ont été maintenus en poste pour assurer le fonctionnement du club, dont certains historiques.

De plus, le directeur général Thomas Jacquemier qui était en poste depuis "l'ère Longuépée" a été remplacé par Arnaud Saint-André à la même position. Ce dernier occupait un emploi similaire à QRM.

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