Girondins. Daniel Riolo: “Des gens qui ont de l’argent et qui ont voulu racheter le club, il y en a” | OneFootball

Hier soir, dans la célèbre émission “l’After Foot” diffusée sur RMC, les différents chroniqueurs du soir sont revenus sur le match de gala des 100 ans du Parc Lescure. De plus, ils ont abordé la situation du club, avec notamment une révélation de Daniel Riolo très surprenante sur l'intendance au Haillan. Il glisse encore un mot sur l'intérêt d'investisseurs pour les Girondins de Bordeaux.

"Il vient se pavaner"

Daniel Riolo : “Évidemment le casting du match des Légendes est dingue, mais surtout, la légende Alain Giresse à la 41e minute qui vient de sortir. Il a 70 ans, je t'assure qu'il régale encore. 70 ans, courir autant et être aussi précis c'est épatant. Tu sais qui est présent au match ? Il y a une info qui intéresse Bordeaux, Gérard Lopez est présent au match. Il ne vient plus voir les matchs de son équipe, il ne s'intéresse plus à son personnel. Des gens qui ont de l’argent et qui ont voulu racheter le club, il y en a. Mais sauf que lui il ferme la porte parce qu'il veut rester à la tête du club. Je ne parle même pas des fournisseurs qui ne payent plus. Mais il vient aux 100 ans de Chaban parce qu’il y a ces joueurs-là, parce que le stade est plein, parce qu'il y a plein de vedettes à qui serrer des mains, non, mais c'est incroyable."

Des gloires du club ont-elles dû amener leur papier toilette et tondre la pelouse ?

"On l'a raconté 1000 fois cette histoire, l'histoire était déjà drôle, mais quand j'ai appris que des gens importants du club ont ramené du papier toilette de la maison tellement il y en avait plus. Il y a d’anciens grands joueurs qui travaillent encore au club, notamment certains de France-Brésil 86. Dans le 11 de ce match, il y a deux 2 anciens bordelais qui sont au club, Stopyra et Battiston. Ils ont amené leurs papiers toilette, ils leur aient même arrivé de tondre la pelouse. Voilà où en est ce club (rire) (...) Ça me fait rire, mais je pense que c'est dramatique. Et l'autre, il vient se pavaner."

>> Albert Riera attend une réponse de Gérard Lopez