Gérard Lopez : “Ce n’est pas la fin de quelque chose, c’est vraiment le début. L’état d’esprit n’est malheureusement pas à la fête ou à se laisser aller” | OneFootball

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·23 juillet 2021

Gérard Lopez : “Ce n’est pas la fin de quelque chose, c’est vraiment le début. L’état d’esprit n’est malheureusement pas à la fête ou à se laisser aller”

Image de l'article :Gérard Lopez : “Ce n’est pas la fin de quelque chose, c’est vraiment le début. L’état d’esprit n’est malheureusement pas à la fête ou à se laisser aller”

Gérard Lopez a t-il un esprit de revanche en devenant le propriétaire des Girondins de Bordeaux (sous-entendu vis-à-vis du fait qu’il se soit fait écarter de Lille) ? Voici sa réponse.

« Il est un peu schizophrène quelque part parce qu’il y a un certain soulagement pour le club. Je le ressens aussi pour les employés et tout ce qui compose le club. Pour moi c’est particulier parce que ce n’est pas la fin de quelque chose, c’est vraiment le début. Déjà avant, on a eu des réunions sur des choses à faire. On sait que la situation telle qu’elle est aujourd’hui, est compliquée, déjà pour le foot français en général et qui plus est pour les Girondins de Bordeaux. Par ailleurs, j’ai pu dire que c’était une opération de sauvetage mais ce n’était pas pour faire dans le dramatique mais il est vrai que c’est un challenge. Ce qu’il va falloir faire à court terme, et c’est pour ça que l’état d’esprit est entreprenant. On n’a pas de temps à perdre car on a un championnat qui va commencer incessamment sous peu, on a un mercato qui va être très court, on a les challenges des droits télé diminués. On a tout ça qui vient ensemble et à partir de là, l’état d’esprit ne peut être qu’un seul, c’est actif même presque hyperactif pour faire face à des délais qui sont très courts et à des choses qui sont à réaliser très importantes pour pouvoir amener le club dans une phase de stabilité et ensuite dans une phase de performance. L’état d’esprit n’est malheureusement pas à la fête ou à se laisser aller. La transition entre reprise et boulot n’a quasiment pas existé ».

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