Florian Sotoca : «Depuis le début de saison, on a beaucoup de situations qui sont à notre défaveur» | OneFootball

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·24 novembre 2024

Florian Sotoca : «Depuis le début de saison, on a beaucoup de situations qui sont à notre défaveur»

Image de l'article :Florian Sotoca : «Depuis le début de saison, on a beaucoup de situations qui sont à notre défaveur»

Il y a de l’incompréhension. Et ce n’est pas la première fois cette saison que les Lensois ressentent de l’injustice après une rencontre. Hier soir, le corps arbitral a annulé le but de Rémy Labeau-Lascary. En cause, une faute produite bien plus bas sur le terrain de Fulgini sur Nadir.

Pierre Dréossi s’est exprimé sur la situation. Will Still aussi. Pour Florian Sotoca, c’est difficile de comprendre également. «La faute, je ne sais pas si elle y est ou pas. Je n’ai pas revu les images. Mais revenir sur une faute à 80 mètres du but adverse… Surtout qu’il y a eu une main de Rabiot 30 secondes avant. Ça fait râler. Ça dénature un peu le football. On est là pour vivre des émotions. A 2-2, tu as tout un stade qui te repousse derrière. Forcément, on se crée des émotions énormes avec ce changement de résultat. 30 secondes après, il vous annule le but. Forcément, ça fait râler.»


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Des voix marseillaises qui se sont fait entendre dans le couloir à la pause

Et ce n’est pas la première fois que l’équipe du Racing fait part de ses interrogations après les matches. «Depuis le début de saison, on a beaucoup de situations qui sont à notre défaveur. Mais ça fait partie du jeu, poursuit Flo’ Sotoca. On sait que la VAR est là pour aider l’arbitre. C’est vrai que ça se répète. Mais c’est des choses qui arrivent. C’est à nous d’être plus tueurs devant pour se faciliter les matchs. Parce que si en premier mi-temps, on prend l’avantage au score, ce n’est pas du tout le même scénario du match. M. Wattelier, ce soir, a laissé beaucoup jouer. C’est bien parce que ça avantage le côté joueur. Et ça, on a aimé. Mais après, en deuxième mi-temps, ça râle un peu côté Marseillais à la mi-temps. Et en deuxième mi-temps, peut-être qu’on voit un autre visage de l’arbitrage.»

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