Girondins4Ever
·12 juillet 2025
Estelle Cascarino : “J’ai fait beaucoup de clubs, mais Bordeaux, c’est vraiment un club qui m’a marqué”

In partnership with
Yahoo sportsGirondins4Ever
·12 juillet 2025
Pour « Maison Saint Matthews », l’ancienne défenseure des Girondins de Bordeaux, Estelle Cascarino, a été questionné sur son départ de Gironde pour le Paris Saint-Germain. L’occasion pour elle de glisser quelques bons mots pour le FCGB.
« En fait, quand j’ai signé au Paris Saint-Germain, Bordeaux, ça a été un peu mon tremplin. L’objectif, quand j’ai signé à Bordeaux, c’était… On avait vraiment une équipe compétitive, et d’ailleurs j’ai passé deux années extraordinaires à Bordeaux, j’ai rencontré des personnes vraiment incroyables là-bas… Ça a été une de mes meilleures expériences. Et c’est vrai qu’à la fin de mes deux années à Bordeaux, l’objectif était d’aller dans un club de premier plan au niveau européen. A ce moment-là, j’ai eu plusieurs propositions, dont le Paris Saint-Germain. Quand je signe à Paris, j’ai 24 ans, et pour moi c’est un grand step de passé dans ma carrière, un objectif atteint. J’ai eu beaucoup de mal à m’adapter. En fait, je n’avais pas pris conscience de la taille du club, de ce que ça voulait dire de signer au Paris Saint-Germain. A ce moment-là, mentalement, je n’étais pas prête, et puis je pense que c’était un club qui ne me correspondait pas forcément sur le plan humain. Je pars du principe que tous les clubs ne sont pas fait pour tout le monde. En fait, ce sont des choix de carrière. C’est un très grand club, c’est un club que je suis, c’est juste que c’est un club qui n’était pas fait pour moi car très porté sur l’image… Il manquait ce côté familial que j’ai eu à Bordeaux, au Paris FC… C’est ce qui a fait que j’ai décidé de partir ».
Puis, elle parla de nouveau des Girondins.
« J’ai fait beaucoup de clubs, mais Bordeaux, c’est vraiment un club qui m’a marqué. Les gens là-bas m’ont marqué. Je me sens aujourd’hui vraiment bien à la Juventus, même si ce n’est pas ma langue, etc… J’ai eu de la chance car quand j’ai signé, il y avait quelques françaises, comme Maëlle Garbino et Ella Palis, avec qui j’avais joué à Bordeaux, ce qui fait que ça m’a facilité l’intégration ».