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·24 octobre 2023
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Interrogé sur le fait que Papu Gomez a pu jouer la Coupe du monde alors qu'il avait été contrôlé positif à un test antidopage et qu'on ne le sache qu'un an après, Pierre Ménès constate que le faisceau de présomptions devient plus important.
L'annonce la semaine passée de la suspension pour deux ans de Papu Gomez suite à un contrôle antidopage positif a remué le couteau dans la plaie des supporters français. Car l'attaquant argentin a été testé il y a un an et il n'aurait donc pas dû pouvoir participer à la Coupe du monde avec l'Argentine. D'ailleurs, il est question qu'il soit destitué de sa médaille de vainqueur. Certains fans des Bleus ont demandé à ce que la victoire de l'Albiceleste soit annulée vu qu'elle comptait un tricheur dans ses rangs. Une requête qui n'a évidemment aucune chance d'aboutir mais qui confirme que l'Argentine a bénéficié de beaucoup de coups de pouces du destin pour décrocher sa troisième étoile.
Interrogé sur le sujet, Pierre Ménès a d'ailleurs dit qu'il commençait à virer complotiste alors qu'il n'aime pas ça : "C'est un souci. Il ne faut pas le nier. C'est un problème. Ça accrédite la thèse du complot, comme quoi cette Coupe du monde était promise à Messi. J'aime pas ça, les complots, ça fait du mal à mon sport mais c'est vrai que le faisceau de présomptions devient important".
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