Équipe de France olympique : Thierry Henry veut "remporter la médaille d’or" et rend hommage au Parc des Princes | OneFootball

Thierry Henry, sélectionneur de l’équipe de France olympique, s’est présenté face à la presse avant d’affronter l’Espagne en finale des Jeux Olympiques de Paris 2024.

Les Bleus sont qualifiés pour la finale des Jeux Olympiques de Paris 2024. Lundi 5 août, l’équipe de France a renversé l’Égypte (3-1) à l’issue de la prolongation lors des demi-finales. La sélection tricolore jouera l'or olympique, ce vendredi 9 août, contre l’Espagne. À la veille de la rencontre, Thierry Henry s’est présenté face à la presse. Le sélectionneur tricolore souhaite absolument remporter la compétition : "On a visualisé l’or. On se retrouve dans une situation où on se donne le droit de rêver. L’objectif c’était de ramener une médaille, maintenant on va se battre pour la plus belle. C’est un petit exploit d’aller en finale et il faut essayer de bien finir. Quoi qu’il arrive c’est déjà un succès."

Malgré son ambition de remporter la plus belle des médailles, le champion du monde 1998 a conscience que la tâche sera difficile contre la Rojita : "Ce sera une finale difficile contre une équipe qui maîtrise la balle, qui sait bien presser. Je ne suis pas là pour savoir si on est favori ou pas, on affronte une équipe redoutable, un pays qui travaille bien depuis des années. On sait que ça va être un match vraiment difficile mais c’est une finale, on va la jouer à fond. J’ai un énorme respect pour le travail effectué en Espagne."

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Thierry Henry rend hommage au Parc des Princes

La finale du tournoi olympique de football se jouera sur la pelouse du Parc des Princes. Face à la presse, Thierry Henry a rendu un bel hommage à la magnifique enceinte de la Porte de Saint-Cloud : "Le Parc ! Oui je suis banlieusard, oui je suis des Ulis mais le Parc c’est Safet Susic, c’est Francesco au Matra, c’est George Weah, c’est la relance de Lama sur la poitrine de Ginola, son contrôle intérieur du pied pour repartir et longer la ligne. C’est Borelli qui embrasse la pelouse, c’est le Parc ! Il y a tout, c’est 84. Je ne vais pas dire les mauvais moments mais le Parc c’est le Parc. C’est partir de chez moi tous les week-ends quand on avait la chance d’avoir deux grandes équipes dans la ville. C’est le match du Real, enfin je ne sais pas… Là je m’emporte un peu, mais quoi qu’il arrive faire partie de l’histoire de ce stade mythique c’est fabuleux. C’est aussi Zlatan, c’est Kylian, Cavani, Pauleta, c’est Dahleb et j’en oublie… Je pense que vous avez compris. (Un peu plus tard il reprend) Mince, j’ai oublié Raï et Valdo."

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