Équipe de France : le secret de la motivation de Konaté | OneFootball

Au détour d’une interview pour Franceinfo, Ibrahima Konaté a confié quels sont ses secrets pour se mettre dans les meilleures dispositions avant une rencontre.

En avant-match, certains se mettent dans leur bulle quand d’autres préfèrent et s’amuser pour décompresser... Ibrahima Konaté, lui, préfère lire ! Dans un entretien accordé à Franceinfo, le défenseur français de Liverpool a confié que les mangas lui permettent de se motiver avant chaque rencontre : « Des fois quand je regarde les mangas, mes coéquipiers de Liverpool me disent : « Ibou tu es trop grand pour regarder ça ». Ce qu’ils ne comprennent pas, c’est que le manga, ce n’est pas qu’un plaisir visuel, ça m’inspire au quotidien. Parfois, avant certains matchs, je mets des scènes de combat et ça me met une détermination », confie-t-il, amusé.

« Il m’a fait aimer le football »

Interrogé sur ses inspirations, le natif de Paris (France) a eu une réponse surprenante : « Ronaldo, le Brésilien, clairement, on ne peut pas me l’enlever lui. Contre n’importe quel autre joueur, je le choisis lui, direct. C’est lui qui m’a fait aimer le football. Je jouais avant, pour faire passer le temps. Un jour, avec un ami de mon frère qui s’appelle Clément, on parlait de foot et il me demande si je connais Ronaldo. Je lui dis que non et là il me montre des vidéos de lui », a expliqué le joueur formé au Paris FC puis à Sochaux.

Mais pour ce qui est des joueurs qui l’inspirent à son poste, Virgil van Dijk fait office de favori : « Je ne regarde pas tellement le foot, mais dans une interview j’avais dit Sergio Ramos. C’était le numéro un, puis ensuite Virgil van Dijk. Mais je n’avais pas conscience en fait. Quand j’ai joué avec lui, la première fois, je me suis dit que j’étais fou. Il a une facilité, que ce soit techniquement ou défensivement, c’est exceptionnel. (...) À l’époque, j’arrive sur la pointe des pieds de Leipzig. J’arrive avec la détermination, mais je me dis que ça ne va pas être facile. Je viens avec ma mentalité de mec de quartier, de Parisien capable de surmonter l’Everest. Mais Virgil a été un soutien positif, aux entraînements déjà j’apprends beaucoup de lui. Il me donne beaucoup de conseils, et ils sont précieux », a-t-il conclu. Ça tombe bien, il aura l’occasion de se mesurer à son coéquipier lors de l’Euro, les Pays-Bas faisant parties de la poule des Bleus...

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